Quepour la personne trompée qui doit apprendre à pardonner si évidemment elle veut continuer à vivre dans son couple. Si votre couple a été victime d’une infidélité passagère (un dérapage), il est possible de gérer ce problème. Pour un sex-addict, le sexe a pour fonction d'assouvir une angoisse profonde. Getty Images/iStockphoto "J'ai 38 ans et je suis marié depuis 17 ans. J'ai deux enfants de 13 et 14 ans. Et je suis sex-addict. Je n'en suis concient que depuis l'âge de 34 ans, après que peu à peu, cette addiction ait remplacé tous les rapports humains normaux que je pouvais avoir. Pour faire simple, les amis sont remplacés par les plans cul. Après dix années passées à tout lui cacher, j'ai fini par avouer à ma femme qui j'étais. Nous suivons une thérapie, mais pour l'instant, la dépendance est la plus forte. Combien de temps ma femme va-t-elle rester?" Ce témoignage, F. l'a laissé sur l'un des forums dédiés à la dépendance sexuelle. Loin d'être isolé, il reflète assez bien le ton général des messages, tous empreints de honte et d'inquiétude comment espérer que son ou sa conjointe accepte à long terme de rester, lorsque l'on ne maîtrise pas ses pulsions sexuelles? De même, comment, lorsque l'on vit avec un sex-addict, se protéger soi-même des dégats collatéraux? Voici quelques éléments de réponses grâce à Jean-Benoît Dumonteix, psychanalyste et addictologue, auteur avec Florence Sandis de l'ouvrage Les sex-addicts. Quand le sexe devient une drogue dure Hors Collection, 2012. Les sex-addicts, des personnes en souffrance"Les sex-addicts ne sont pas des pervers", précise en préambule Jean-Benoît Dumonteix. "Un pervers jouit de dépasser les limites sexuelles de l'autre. Les sex-addicts sortent du cadre "normal" de leur sexualité, mais n'en jouissent pas, bien au contraire." La souffrance, ajoute Jean-Benoît Dumonteix, est l'élément déterminant de cette dépendance sexuelle. C'est cette donnée qui permet de différencier un infidèle chronique qui mettrait son comportement sur le compte d'une pseudo dépendance et le véritable sex-addict, victime de pulsions qu'il ne maîtrise pas. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement "On ne peut pas jouer la dépression, or la plupart du temps, les sex-addict finissent par souffrir d'un véritable abattement. Il y a toujours une très grande culpabilité chez ces personnes", ajoute le psychanalyste, qui précise par ailleurs que cette addiction sexuelle peut toucher n'importe qui et concerner tous les âges, toutes les sexualités, tous les sexes. Cela dit, il observe également certains points communs chez ses patients, majoritairement quadragénaires, en couple et souvent soumis à un stress important dans leur vie personnelle ou professionnelle, qu'il s'agisse de médecins, de politiques ou de responsables d'entreprises. "La sexualité remplit pour ces personnes une fonction d'apaisement d'angoisses exagérément fortes." Mais comme toute addiction, elle crée surtout l'illusion d'un apaisement, d'où la nécessité de recommencer, encore et encore, pour tenter, en vain, de trouver la paix. Raisonner sur le terrain de la pulsion, non de l'infidélitéS'agissant des conjoints et de la façon dont ils peuvent supporter, dans tous les sens du terme, de tels comportements -Bernard, sex-addict "abstinent après une thérapie de cinq ans évoque par exemple jusqu'à sept partenaires par jour-, Jean-Benoît Dumonteix souligne la dimension pathologique de cette dépendance "bien sûr, il est tentant de reprocher à l'autre cette double vie. Mais après? Il ne faut pas croire que la volonté ait quoi que ce soit à voir avec ça. Les sex-addicts, comme les alcooliques ou toxicomanes sont sous emprise." Et il est d'autant plus difficile de se défaire de cette emprise que l'objet de leur addiction est à leur disposition en permanence. Impossible de se débarrasser de son sexe comme on jette une bouteille d'alcool ou un paquet de cigarettes. Raisonner en terme d'infidélité n'est donc a priori pas la voie la plus constructive si l'on décide de rester avec un sex-addict et de l'accompagner dans sa guérison. "On peut plutôt se placer sur un plan plus humain et prendre en compte la pulsion, subie et non choisie par le sex-addict", suggère le psychanalyste. Se convaincre que l'on n'est pas en causeIl faut par ailleurs se convaincre lorsqu'on vit avec un sex-addict, que "cela n'a rien à voir avec la personne aimée". D'ailleurs, précise Jean-Benoît Dumonteix, "la plupart du temps, le ou la conjointe n'est pas l'objet de ces pulsions, l'autre faisant tout pour le ou la préserver". "Lorsque j'ai découvert que mon conjoint mutlipliait les rencontres durant la journée et s'était inscrit sur des dizaines de sites de rencontres en ligne alors qu'il ne me touchait presque plus, mon premier réflexe a été de me dire que j'étais responsable, que je n'avais pas pris assez soin de moi après mes grossesses. Il m'a fallu du temps pour accepter l'idée qu'au contraire, il ne me touchait plus parce qu'il m'aimait, qu'il ne voulait pas que j'entre dans cet aspect-là de sa vie", témoigne Sophie, épouse d'un sex-addict "en rémission". Accepter de se faire aider, en tant que "co-dépendant"Le conjoint n'a pas non plus "à entrer dans le processus de guérison", poursuit le psychanalyste. En revanche, "il est souhaitable de se faire aider, de pouvoir se confier pour mettre des mots sur les émotions nées lors de la découverte de cette double vie". "On n'est pas avec un sex-addict par hasard, même si pendant des années on ne se rend pas compte consciemment de ce qui se passe. Les co-dépendants ont d'ailleurs souvent eux-mêmes une histoire avec la dépendance. L'inconscient cherche un être aimé qui a le même fonctionnement que soi, même si l'objet de l'addiction est différent." Et d'ajouter "Il faut aussi se demander pourquoi on reste, ce qu'on attend de cette histoire." A ce titre, Jean-Benoît Dumonteix constate que souvent, les couples tiennent, "même si au départ il peut y avoir beaucoup de colère et de sidération". "Il y a aussi paradoxalement un soulagement de part et d'autre lorsque le sex-addict vide son sac et se débarrasse de ce poids." "Prendre de la distance dans un premier temps peut être salvateur, mais partir ne change souvent rien au problème, les conjointes le savent et c'est probablement pour cela que beaucoup décident de rester, histoire aussi de régler ça à deux." Enfin, recommande le psychanalyste, "il ne faut pas chercher à tout savoir, à connaître tous les détails." "Ajouter de la souffrance à la souffrance ne mène à rien", assure-t-il. Quant à l'espoir de guérir, "il est réel, mais il reste en général une fragilité, comme pour tous les dépendants abstinents". "Mais lorsqu'il y a de l'amour, il y a un espoir pour ces couples." Journaliste, Caroline Franc Desages est également auteur du blog "Pensées by Caro" Caroline Franc Desages Les plus lus OpinionsTribunePar Carlo Ratti*ChroniquePar Antoine Buéno*ChroniqueJean-Laurent Cassely Aujourdhui, enceinte, je ne supporte plus l'odeur du parfum de mon homme. Celui-ci s'obstine quand même à en mettre un peu. Je crois l'avoir convaincu d'arrêter ce matin en lui vomissant dessus. VDM. Je valide, c'est une VDM 8 397. Tu l'as Nous ne faisons plus l’amour La sexualité n'est pas une obligation! Il n'existe aucune règle, ni norme en la matière. Ne plus faire l'amour, durant quelques mois ou quelques années, n'a rien de pathologique, si on le souhaite vraiment. Les périodes d'abstinence n'ont rien d'exceptionnel. Tout âge confondu, 16% des femmes et 15% des hommes en couple depuis plus d'un an rapportent n'avoir eu aucun rapport sexuel pendant au moins trois mois consécutifs. Ils sont respectivement 17% et 16 % dans ce cas, lorsqu'ils sont en couple depuis plus de 6 ans1. Il est vrai que dans certains magazines ou émissions télévisées, notre sexualité est étudiée à la loupe nombre moyen de rapports sexuels selon l'âge, fréquence des troubles érectiles, etc. il est parfois difficile de prendre du recul par rapport à cette pseudo-normalité. Or, la seule règle qui vaille est d'être d'abord à l'écoute de soi et de son partenaire, et d'oublier le qu'en dira-t-on. "Lorsqu'un couple me demande s'il est grave qu'il n'ait plus de relations sexuelles, je l'interroge sur ce qu'il en pense. Si les deux conjoints me répondent que la situation leur convient, mais qu'elle étonne leurs proches, je leur dis de se faire confiance et de s'écouter", explique Nadine Grafeille, psychiatre et sexologue2. 1 Enquête sur la sexualité en France, sous la direction de Nathalie Bajos et Michel Bozon, La Découverte, Auteure avec Nicolas Fauveau de "L'Amour longtemps, la sexualité des senior", Plon, 2006. L'abstinence oui, si on décide à deux L'abstinence peut néanmoins nuire au couple, lorsque les deux partenaires ne sont pas d'accord, et que l'un impose l'absence de relations sexuelles à l'autre, contre sa volonté. Elle dénote alors un dysfonctionnement conjugal. Cette dysharmonie peut être le résultat d'une difficulté psychologique ou physique personnelle. Par exemple, l'un des conjoints ne se sent plus désirable, craint de ne plus être à la hauteur ou de souffrir lors du rapport sexuel. Le risque est grand, si aucune explication n'est donnée, que le partenaire interprète à tort ce refus comme une forme de rejet à son égard. Ne plus faire l'amour peut aussi peser sur le couple, lorsque rien ne remplace la complicité née de l'acte sexuel. "Un jour, une patiente qui n'avait plus de relations sexuelles avec son mari m'a dit qu'ils n'osaient plus se déshabiller l'un devant l'autre", raconte Sylvain Mimoun, gynécologue et andrologue3. 3 Auteur avec Rica Etienne de "Sexe et sentiments", Albin Michel, sorti le 11 janvier 2011. Préserver l'intimité Pour éviter les quiproquos, il est essentiel d'être honnête avec soi-même et d'exprimer calmement à son partenaire ce que l'on ressent. "Il est également important de maintenir entre soi et l'autre une forme d'intimité", précise Nadine Grafeille. Une caresse, un regard ou un baiser permet de se sentir exister aux yeux de son conjoint. Des projets communs - cours de danse, voyage, etc. - concourent aussi à maintenir ce lien précieux. Lorsque l'abstinence est subie par l'un et imposée par l'autre, une consultation avec un sexologue s'impose. En présence de ce tiers neutre, chacun peut exprimer ce qu'il n'ose pas dire directement à l'autre, lors d'une séance individuelle ou en couple."Aujourd'hui, la plupart des douleurs féminines ou des troubles masculins, comme la dysérection, peuvent être traités. Il serait dommage de se priver de sexualité, alors qu'il existe des solutions !", souligne Nadine Grafeille. "Par ailleurs, l'appétit vient parfois en mangeant", rappelle Sylvain Mimoun. Car plus on fait l'amour, plus on a envie de le faire. "Parfois, il suffit de se solliciter mutuellement, pour faire jaillir un désir qu'on croyait éteint". Les bienfaits du sexe La plupart des chercheurs s'accordent sur les bienfaits physiques et psychologiques du sexe. Faire l'amour provoque en effet un bouleversement hormonal momentané, qui génère une sensation d'apaisement, de dynamisme et d'euphorie. Par ailleurs, l'orgasme déclenche des endorphines, sorte de "morphine" sécrétée par le cerveau et la moelle épinière, qui favorise notre sommeil et notre mémoire, et possède un effet antidouleur reconnu. Chez les femmes, les caresses sur la poitrine déclenchent une libération d'ocytocine, une hormone qui concourrait à préserver du cancer du sein, en éliminant les radicaux libres cancérigènes. Les relations sexuelles favorisent également la régulation cardiovasculaire. Selon une étude américaine, réalisée auprès de mille individus âgés de 40 à 70 ans, les hommes qui font l'amour au moins deux fois par semaine diminueraient de 45% leur risque de connaître une maladie cardiovasculaire, par rapport à ceux qui ne font l'amour qu'une fois par mois. De quoi réfléchir à deux fois avant de renoncer aux câlins sous la couette ! Vous aimez cet article ? 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Jene me sentais plus respectée, il n'avait plus de tendresse à mon égard et plus de reconnaissance pour tout ce que je faisais dans la maison et pour les enfants. Il a été très surpris lorsque je lui ai confié mon intention de le quitter. Il ne savait pas à quel point je souffrais parce que j'en parlais peu. Il m'a écoutée, mais sans jamais assumer sa part de responsabilité dans

© BELGAIMAGE - HATIM KAGHAT Ils sont allemands, espagnols, néerlandais, portugais ou encore français, mais sont tous réunis sous la bannière jaune et bleu. Rencontre avec des supporters de l’Union qui n’étaient pas destinés à le devenir. C’est jour de match à Bruxelles. À Saint-Gilles, les écharpes jaune et bleu sont arborées avec fierté. L’Union ne s’est plus aussi bien portée sportivement depuis des lustres. En descendant vers Forest et le stade Marien, la foule grossit à mesure qu’on s’approche. Les gobelets de bière se vident et les conversations tournent forcément autour de l’équipe locale. En français majoritairement, mais aussi en néerlandais, en anglais et… en danois. Jakob et Kristoffer sont actuellement en stage à Bruxelles et ce dernier est pote avec Jonas Bager, défenseur danois de l’équipe de Felice Mazzù. Accompagnés de leurs potes Emile et Casper, en visite pour le week-end, ils s’apprêtent à redécouvrir l’ambiance du Parc Duden. © BELGAIMAGE – HATIM KAGHAT À l’image du noyau unioniste, mais aussi de la ville de Bruxelles, les tribunes saint-gilloises comptent de nombreuses nationalités différentes. À tel point qu’un fan club récemment créé est désormais dédié aux fans expats Be Union. Rencontre avec quelques-uns de leurs membres. Ana Notre groupe compte plus de dix nationalités différentes » Je suis portugaise, j’habite déjà depuis plus de dix ans à Bruxelles, je travaille à la Commission européenne. Au pays, je suis supportrice du FC Porto. C’est pour ça que des amis insistaient pour que je les accompagne à l’Union. Ils me disaient que je devais me trouver un club ici mais moi, l’Union en deuxième division, ça ne me disait trop rien a priori. Finalement, j’ai accepté et je suis allée voir le match contre le Standard en PO2 en 2017, au Heysel. En termes de foot, c’était assez horrible. Mais j’ai aimé le fait que malgré qu’ils n’aient pas gagné 2-2, tout le monde faisait la fête. Je trouvais ça étonnant. C’est très différent de Porto où il y a toujours beaucoup de pression. Là-bas, si tu as gagné mais que tu as mal joué, où que tu n’as gagné que de justesse, les supporters peuvent être mécontents et le manifester. Ici, c’est toujours la fête. Ana© BELGAIMAGE – HATIM KAGHAT Je suis abonnée depuis la saison 2019-2020 et désormais l’Union fait partie de mon programme social ». Il y a beaucoup d’avantages après les matches, on sort ensemble avec les potes, c’est près de chez moi, il n’y a pas de violence, il y a beaucoup d’enfants. J’aime aussi beaucoup la proximité entre les joueurs et les supporters. Après chaque match, ils viennent nous remercier. Avec d’autres expats comme Friedrich et Vlada voir plus loin, on s’est dit que ce serait cool de créer un fan club pour les étrangers, qu’il fallait quelque chose d’international. Et c’est comme ça que Be Union est né au début de cette saison. On compte une centaine de membres. On a beaucoup de soutien du club parce que je crois qu’ils ont compris qu’il y avait cette niche de supporters, qui ne parlent pas forcément français, qui ne sont pas forcément hyper intégrés dans la vie à Bruxelles et que c’est plus facile d’avoir un groupe pour eux. On a organisé notre propre bus pour la première fois pour le déplacement au Standard en avril. Avant, on les faisait avec les Bhoys. On a compté dix nationalités différentes. Et ça, pour moi, c’est à l’image de Bruxelles. D’ailleurs, je me sens toujours bienvenue en tant qu’étrangère. Bon, moi je parle le français, mais même pour ceux qui ne le parlent pas du tout, ça se passe très bien. La progression du club est phénoménale, mais j’ai aussi un peu peur que l’essence disparaisse. Cette saison, on voit qu’il y a beaucoup de gens qui viennent et qui ne comprennent pas ce qu’est l’Union ou même ce qu’est vraiment le foot. J’ai un peu peur que ça devienne la règle et plus l’exception, que l’essence populaire se perde. J’espère que non, mais c’est toujours un risque quand un club grandit et qu’il change de stade comme ça devrait être le cas bientôt. Il n’est pas impossible que l’Union affronte Porto en Coupe d’Europe la saison prochaine, mais je supporterai Porto. C’est le coeur qui parle! On ne peut pas changer ça. Je crois au titre, on a assez de qualités pour remporter les play-offs. Après le concept est un peu bizarre à mes yeux. Ma grand-mère m’a appelée récemment et elle me demandait Alors, vous êtes champions? » J’ai dû lui expliquer que non, pas encore. Mais bon, c’était encore pire en D1B j’ai quasiment mis toute la saison pour comprendre comment ça fonctionnait. » Friedrich On voit l’Union partout » Je suis allemand et j’habite à Bruxelles depuis 2015, j’y suis lobbyiste. J’ai toujours aimé le foot et je suis supporter de l’Eintracht Francfort. Je me souviens parfaitement de mon premier match de l’Union, même si j’ai oublié qui était l’adversaire. J’y suis allé avec un ami du travail qui supportait déjà le club depuis un petit temps et j’ai trouvé ça très cool donc je suis revenu. Ce qui rend l’Union très spéciale, c’est l’atmosphère qui s’en dégage. Depuis le début, les fans ont toujours été très cools, on se sent bienvenus, on boit des bières… Bien sûr, l’aspect sportif est important, mais c’est aussi très fun d’être là. Surtout dans notre stade c’est un peu comme un Fan Day dans le parc à chaque rencontre. Friedrich© BELGAIMAGE – HATIM KAGHAT Le premier match véritablement mémorable pour moi, c’est celui contre l’Antwerp en 2016. C’était décisif pour assurer le top 8 et se maintenir dans ce qui allait devenir la D1B. C’était un match dingue et je me souviens être resté très tard au Club House. Anthony Sadin, le gardien de l’époque, a débarqué avec des pizzas. C’était extraordinaire. Là, je viens d’avoir un enfant donc je vais un peu moins au stade pour le moment, mais habituellement j’assiste à tous les matches à domicile. Pour l’instant, on alterne avec ma femme une fois c’est elle qui va au match, la fois suivante, c’est moi. Ce que fait le club actuellement, je ne l’aurais jamais imaginé. Il y a quelques saisons, il y avait un joueur dont je ne me souviens plus du nom qui était allé faire un test à Energie Cottbus, qui était alors en D3 ou D4 allemande. Je trouvais que c’était déjà quelque chose. Puis, on a eu les Allemands Max Besuschkow et Marcel Mehlem et je me disais Pourquoi ils sont là? ». Mais maintenant, l’Union c’est autre chose. Si on joue contre une équipe allemande en Coupe d’Europe, ce sera très excitant. Toute ma vie, j’ai été supporter de Francfort si l’Union l’affrontait, ce serait fou. Je crois que je devrais m’acheter un maillot des deux équipes et en faire un moitié-moitié! Mais j’irais voir le match côté Union! J’ai même changé à Fifa, j’ai remplacé l’Eintracht par l’Union comme équipe favorite. Ce qui est cool, c’est que c’est toujours à peu près l’équipe de la saison passée, avec juste quelques ajustements. L’Union mise sur des joueurs qui ont un certain potentiel de développement cette philosophie sportive est bonne à mon sens. Bon, je ne m’attends pas à ce qu’ils jouent le titre chaque saison. Ce qu’ils ont fait cette année, c’est déjà extraordinaire, mais ils ont en tout cas le potentiel pour s’installer en D1A. Et les gens ne s’y trompent pas quand j’ai commencé à aller au stade, même certains qui vivaient à Bruxelles ne connaissaient pas l’Union. Maintenant, on voit l’Union partout. Tout à l’heure, je buvais une bière avec des amis dans le quartier européen et j’avais mon écharpe. Même là, les gens s’arrêtent et crient Allez l’Union » et se mettent à discuter. J’espère que ça va continuer comme ça. » Vlada On a tellement aimé le quartier qu’on y a acheté une maison! » Je suis originaire de Lettonie, mais j’ai grandi aux Pays-Bas. Je travaille au Parlement européen, en tant qu’assistante parlementaire. En fait, je viens d’une famille plutôt fan de moto. Chez moi on regarde du Moto GP, pas vraiment de football. Je suis arrivée à Bruxelles en 2015. Je commençais juste à fréquenter celui qui est désormais mon mari, Friedrich, et il m’a emmené à un match de l’Union. C’était au Heysel et le niveau de jeu n’était vraiment pas terrible. Malgré tout, c’était mon tout premier match dans un stade et j’ai directement accroché je suis allée à tous les matches par la suite. Les chants, la bière je n’avais jamais expérimenté un truc comme ça. Puis, on s’est fait de plus en plus d’amis et c’est devenu un truc qu’on fait tous ensemble. Je me suis toujours sentie acceptée en tant qu’étrangère. Je crois que pour nous, c’est aussi une façon de s’intégrer en tant qu’expats. Parce qu’il est aussi tout fait possible de rester uniquement au sein de la bulle européenne. Ici, c’est un moyen de rencontrer des personnes différentes, d’être partie prenante de la vie locale en suivant un club local et ne pas être déconnectée du reste de la ville. C’est important pour moi. D’autant plus maintenant que j’ai un fils. Je veux qu’il soit intégré ici, qu’il ait des amis d’ici. J’ai hâte de l’amener à son premier match mais bon, il va falloir encore patienter un peu, il n’a que quatre mois et demi! Vlada© BELGAIMAGE – HATIM KAGHAT L’histoire de mon premier match au Stade Marien est particulière. On y est allé à pied avec mon mari et on a tellement aimé le quartier qu’on y a acheté une maison! elle rit Quand j’étais enceinte, je suis allée à tous les matches jusqu’à ma 36e semaine de grossesse. Et toujours en tribune debout. C’est un peu fou, mais si on se met un peu sur le côté, c’est bon, c’est safe. À cette époque, j’ai également emmené ma mère au stade. Elle avait peur d’un peu s’ennuyer mais c’était contre Seraing, quand Kaoru Mitoma a inscrit un hat-trick en deuxième mi-temps. À la fin du match, elle hurlait comme une dingue elle a adoré! » Je viens de Séville, en Espagne. J’habite Bruxelles depuis 2015. Avant ça, j’ai vécu à Berlin et à Anvers, mais je me suis installé ici par amour, pour rejoindre ma femme que j’avais rencontrée à Louvain. J’aime Bruxelles, je suis d’ailleurs député au Parlement bruxellois Groen! Mon premier match à l’Union remonte à 2016, contre le Lierse au Heysel. L’ami qui devait m’accompagner ne pouvait plus venir donc j’y suis allé seul. C’est comme ça que j’ai rencontré Friedrich et bien d’autres. À l’Union, tu ne restes pas dans ton coin, tu te mélanges. S’y faire des potes est facile. J’ai vite compris qu’on n’était pas là juste pour le football, le résultat, les buteurs, mais aussi pour chanter, boire, rigoler. Juan© BELGAIMAGE – HATIM KAGHAT Une des choses que j’aime à l’Union et qui me rappelle le Betis dont je suis supporter, c’est que quand on encaisse, on chante encore plus fort. On dit Viva el Betis manque pierda » qui signifie Vive le Betis même quand il perd ». J’ai retrouvé ça ici et je pense que c’est assez unique en Belgique. J’aime également le fait qu’on n’insulte jamais l’adversaire et que ce soit une valeur qui perdure. Si certains s’y risquent, ils sont rapidement rappelés à l’ordre par les anciens. Dans le groupe Be Union, c’est très divers, il y a plein de nationalités. Mais ce n’est pas non plus juste des Eurocrates qui n’ont rien à voir avec la ville. Ce sont des gens qui ont choisi de s’installer à Bruxelles, qui organisent des choses avec d’autres fan clubs, qui ont des liens avec d’autres initiatives locales. Ce n’est pas juste un truc d’expats qui s’en fichent de la ville. Ils sont Bruxellois aussi même s’ils viennent d’Allemagne, du Portugal ou de je ne sais où. C’est comme ça que je le ressens aussi. Je suis espagnol, mais aussi bruxellois. Un de mes meilleurs souvenirs de l’Union remonte à 2018 et à un déplacement à Tubize pour éviter la relégation. Avec un petit groupe, on y est allés à vélo. Adrien Saussez a arrêté un penalty à la dernière minute, ce qui nous assurait du maintien. Au retour au Club House, tous les joueurs étaient là avec le coach et le président de l’époque, Jürgen Baatzsch. J’ai discuté avec lui et il m’a dit J’ai vendu le club à un Anglais. » Je pense qu’il était un peu bourré! J’avais un pote journaliste avec moi et je lui ai donc répété. Pendant une semaine, il a essayé de faire confirmer cette histoire, mais Baatzsch niait parce que ce n’était pas encore tout à fait réglé! C’est un tournant dans l’histoire du club même si je pense que le changement n’a pas été trop radical. La principale différence, c’est que maintenant on vise plus haut. Ça arrive même sans doute trop vite je ne pense pas que les dirigeants s’attendaient à ce que ça marche aussi bien. Moi, je crois au titre depuis qu’on a pris la tête du championnat à la onzième journée. Les gens me disaient que j’étais fou, mais je trouve qu’on doit être ouvert à être déçu. C’est la magie du football. Moi en tant qu’Espagnol, je pensais toujours que l’Espagne allait être championne. Longtemps ça n’a pas marché et puis finalement on l’a été trois fois de suite avec les deux EUROS et la Coupe du monde. C’est pareil pour l’Union. Si on est deuxièmes, troisièmes ou quatrièmes, on va pleurer un petit peu, mais si on est champions ce sera génial d’y avoir cru depuis le début. De toute façon, on aime l’Union même quand elle perd. Comme le Betis. » © BELGAIMAGE – HATIM KAGHAT L’Union fait vraiment partie de la vie de quartier » Jérémy n’est pas membre de Be Union. Mais comme un grand nombre de ses compatriotes français, il s’est installé à Saint-Gilles puis Forest. Et est rapidement tombé amoureux de l’Union. Je suis originaire de Saumur près d’Angers. Avec ma femme, on s’est installés à Bruxelles il y a douze ans. Avant ça, on a passé deux ans à Londres, mais je voulais vivre dans une ville moins grande, moins rapide. Une fois arrivé, il ne s’est passé que trois mois avant que je ne voie mon premier match à l’Union. Je bossais pour le Café des Spores, qui a un emplacement sur le marché de la Place Van Meenen de Saint-Gilles. Un de mes collègues était un vrai supporter de l’Union depuis des années donc quand on a commencé à parler ballon, il m’a dit qu’il fallait absolument que je vienne. C’était encore la D3 et il n’y avait pas grand-monde, mais je suis tombé sur un chouette groupe d’anciens. Comme je suis cuisinier, j’ai très vite proposé mes services pour faire des repas à l’Union, dans le Club House. Pendant deux ou trois ans, les jours de match à domicile, je proposais un menu entrée-plat-dessert à environ vingt euros pour entre vingt et quarante personnes par rencontre. Ce que j’apprécie, c’est le côté bon enfant de l’Union. Le côté antifasciste aussi qui ressort très fort chez les supporters. Et puis, je n’aime pas trop les grosses écuries. Je n’ai jamais été fan du Real, de Manchester City ou du Bayern. J’ai toujours supporté des petits clubs. En France, c’est Angers et Sochaux. Donc je me sentais bien dans mes bottes à l’Union, qui en plus est tout près de chez moi. En douze ans, j’ai déménagé plusieurs fois, mais toujours à Saint-Gilles ou Forest. Les jours de match, on a des potes qui viennent au stade à vélo. On en gare cinq ou six dans la maison et les gens viennent prendre l’apéro. L’Union fait vraiment partie de la vie de quartier. Quand tu vas à l’épicerie le lundi matin faire tes courses, tu parles de foot avec les commerçants ou les voisins. Toute la famille en est d’ailleurs mon fils aîné, Alexandre, huit ans et demi, est abonné et a fait tous les matches à domicile, sauf quand c’était un peu trop tard le soir. Le plus petit, Gabriel, bientôt cinq ans, a vu trois matches et ma femme est également venue deux fois cette saison. Le passage actuel vers plus de professionnalisme, je l’accueille avec plaisir. C’est le rêve de tout supporter de se dire que son petit club arrive à faire des performances comme ça. Je n’ai pas l’impression qu’ils soient en train de se trahir dans l’état d’esprit non plus. Ça avance petit à petit, mais il y a toujours ce côté un peu bancal, un peu désorganisé. Et puis, c’est la première fois que je supporte un club qui est en tête du championnat. J’ai vécu le match où on a failli descendre en D4 et là, on est en tête de la D1A, c’est une belle histoire! J’en comprends parfaitement la nécessité, mais le fait de déménager dans un nouveau stade va sans doute enlever un certain charme à l’Union. Je continuerai toutefois à y aller. Cela dit, je vais ouvrir un bistrot à deux pas du Stade Marien cet été, donc s’ils peuvent encore rester trois ou quatre ans, ce serait cool! Et je compte bien évidemment y diffuser tous les matches de l’Union, à domicile comme à l’extérieur! » Alimentation Anonyme64_1 mars 30, 2006, 12:22pm #1. cyrielle 20 mois ne bois que du lait, elle ne veut rien manger, j’ai entamé la diversification vers 5 mois ça ne c’est pas bien passer, elle ne sait pas manger de petits morceaux elle s’étouffe et moi j’angoisse dès que je lui donne 1 morceau 1 peu gros!!! mais même si elle

Télécharger l'article Télécharger l'article Il est difficile de faire face à l'alcoolisme dans un mariage. Vous pouvez avoir l'impression d'avoir perdu votre conjoint et vouloir le récupérer, quand il est en colère et presque méconnaissable. On peut devenir alcoolique quand on a des problèmes à la maison ou au travail ou à l'école à cause de la consommation d'alcool, quand on boit dans des situations à risque par exemple en conduisant, quand on a été blessé ou lorsque l'on a blessé une personne en étant ivre, quand on a essayé d'arrêter de boire sans y arriver efficacement ou quand on trouve des excuses ou ment au sujet de son alcoolisme [1] . Certes, il peut être difficile d'être mariée à un alcoolique, mais il existe quelques mesures que vous pouvez prendre pour aider votre époux et l'encourager à suivre un traitement. 1 Signalez tout abus. Parfois, les alcooliques peuvent devenir agressifs, car l'alcool est souvent associé à la violence [2] . Si votre conjoint vous frappe, vous menace ou vous fait du mal de quelque façon que ce soit, trouvez un refuge et dénoncez-le. Ne le protégez pas en gardant cela secret. Dites-le à votre mère ou à votre père, à votre sœur, à votre voisin, à votre meilleure amie ou à un guide spirituel. Accordez toujours la priorité à votre sécurité. Vous pouvez vous faire aider en appelant un service d'assistance téléphonique en cas de violence conjugale. France appelez SOS femme violence conjugale au 39 - 19. Belgique appelez le Centre de prévention des violences conjugales et familiales au numéro 02 539 27 44. Canada appelez SOS violence conjugale au 1 800 363-9010. Autres pays visitez cette page pour trouver une liste mondiale de lignes d'assistance téléphonique et de centres de secours d'urgence. 2 Approchez-le d'une manière non menaçante. Gardez une intonation de voix normale et parlez-lui sans utiliser des propos sévères ou désobligeants [3] . Par exemple, évitez de le traiter d' ivrogne » ou d'alcoolique sur le moment. Évitez de vous quereller et parlez plutôt d'une manière calme et affirmative. Si votre conjoint commence à se mettre en colère ou à vouloir se battre, dites-lui calmement que ce n'est pas le bon moment et que vous pourrez en reparler plus tard. Évitez à tout prix de vous quereller. Il pourrait vous attaquer physiquement. Ne répondez pas en étant en colère, même si c'est difficile à faire. 3 Offrez-lui des boissons sans alcool et de la nourriture. Plutôt que de le dissuader de consommer de l'alcool, donnez-lui de la nourriture et des boissons sans alcool [4] . Encouragez-le à manger ou à s'hydrater avec de l'eau. Distrayez-le avec cela pour qu'il soit moins tenté de boire de l'alcool. S'il vous demande de le servir de l'alcool, offrez-lui plutôt un soda. 4 Trouvez un compromis. S'il insiste pour avoir un verre ou pour aller quelque part, essayez de parvenir à un compromis [5] . Cela ne vaut pas la peine de vous quereller avec lui, car il n'aura pas les idées claires et vous ne voulez surtout pas aggraver la situation. Trouvez un moyen de le rendre heureux sans pour autant être malheureuse. S'il a vraiment envie de prendre de la crème glacée, mais que vous n'en avez pas, donnez-lui des bonbons ou une autre friandise. Si vous voulez sortir sous une pluie battante, dites-lui fermement qu'il pleut et qu'il peut prendre un parapluie ou rester sous une tente. 5 Fixez des limites. Si son alcoolisme vous affecte d'une façon négative, fixez des limites [6] . Dites-lui clairement que vous ne discuterez pas avec lui de la relation quand il est ivre et que vous refuserez d'essayer de résoudre quoi que ce soit s'il est sous l'influence de l'alcool. Interdisez-lui de boire à la maison ou en présence des enfants. Vous pouvez décider de ne pas rester avec lui quand il boit ou refuser de lui parler quand il est ivre. Établissez des limites en tenant compte de vos besoins personnels. Une fois que vous aurez établi des limites, faites-le savoir à votre époux et soyez sure qu'il les a bien compris. 6 Ayez un plan de secours. Si votre mari est ivre et se comporte agressivement au point que vous craignez pour votre sécurité, ayez un plan d'évasion. Envisagez d'appeler quelqu'un tard le soir qui peut vous offrir un lieu sûr où rester. Si vous avez peur de partir avec la voiture, vous pouvez vous arranger pour qu'une amie ou un parent vienne vous chercher. Dites à votre mari calmement que vous allez trouver un endroit sûr pour passer la nuit et que vous reviendrez le lendemain. S'il se met en colère, dites-lui que vous pouvez discuter avec lui plus tard. De cette façon, vous donnez la priorité à votre sécurité. 1 Acceptez tout sentiment de gêne. Il est fort probable que vous vous sentiez mal à l'aise d'avoir cette discussion délicate avec votre mari. Toutefois, vous ne devriez pas laisser cette gêne vous empêcher de vous exprimer. Gardez à l'esprit que la situation que vous vivez actuellement vous met mal à l'aise [7] . Acceptez le fait que, quoi qu'il arrive, discuter de ce problème vous mettra mal à l'aise. Soyez forte et faites le pas. 2 Choisissez le bon moment pour avoir cette conversation. Il est important que vous ne démarriez pas cette discussion lorsque votre partenaire est sous l'emprise de l'alcool ou est sur le point de boire. En lieu et place, choisissez un moment où vous êtes tous deux sobres [8] . Prenez un moment pour discuter du problème pour ne pas avoir à précipiter les choses après. N'essayez pas d'aborder la question lorsque vous êtes en colère ou lorsque vous êtes bouleversée. Si vous vous sentez frustrée lorsque votre mari ouvre une canette de bière, ce n'est pas le moment idéal d'avoir cette conversation. Attendez d'être tous les deux dans un état calme et neutre avant d'entamer la discussion. Peut-être que vous devez planifier du temps pour discuter du problème. 3Parlez-lui avec compassion, ne le jugez pas. Même si vous pouvez facilement porter un jugement, vous mettre en colère et être déçue, soyez compatissante. Vous ne réprimandez pas votre mari, vous lui demandez de se faire aider, pour son propre bien et pour le mieux-être de la famille [9] . Dites à votre mari que vous l'aimez, le soutiendrez et vous souciez de lui. 4 Dites-lui à quel point son problème vous affecte. Vous pourriez avoir l'impression d'être un second choix lorsqu'il se tourne vers l'alcool avant vous. Vous pouvez même avoir l'impression de ne pas pouvoir rivaliser avec cette relation que votre conjoint entretient avec l'alcool [10] . Bien qu'il puisse subvenir aux besoins financiers de votre famille, si vous avez l'impression qu'il ne vous soutient pas ou la famille suffisamment sur le plan affectif, dites-le-lui. Si vous avez du mal à vous sentir émotionnellement connectée, dites-le-lui aussi. Soyez honnête lorsque vous lui exprimez vos sentiments et votre déception. Dites-lui à quel point son comportement ne vous affecte pas seulement vous, mais aussi d'autres personnes, comme vos enfants, vos amis ou votre famille [11] . 5 Évitez de le blâmer. Exprimez vos sentiments au lieu de blâmer votre époux pour ses problèmes d'alcool [12] . Concentrez-vous sur vous et sur vos sentiments, pas sur lui. Au lieu de dire quelque chose comme, quand tu bois, tu es si distant », dites ceci ça me fait mal de me sentir si loin de toi, et ce lien que nous avions me manque. » Au lieu de dire quelque chose comme tu ne passes pas de temps avec les enfants », dites ceci j'ai du mal à donner aux enfants toute l'attention dont ils ont besoin et j'aimerais que tu m'aides. » 6 Demandez-lui de se faire soigner. Dites à votre mari que vous l'aimez, le soutenez et que vous souhaitez simplement qu'il soit en bonne santé et heureux. Demandez-lui de chercher un traitement pour son alcoolisme [13] . Vous pouvez lui dire qu'il est difficile de traiter l'alcoolisme sans aide et que s'il reçoit un traitement, cela vous aidera tous les deux à faire face au problème. Le traitement de l'alcoolisme permet également de faire face aux problèmes psychologiques et aux comportements de dépendance qui nuisent à une vie heureuse et épanouie. Vous devrez peut-être faire quelques recherches avant de discuter des options de traitement disponibles. Appelez votre assurance pour avoir une idée des programmes de traitement disponibles. Renseignez-vous sur les séances de thérapie individuelle ou familiale, les programmes thérapeutiques pour patients hospitalisés et externes afin de pouvoir discuter de toutes les options de traitement avec votre mari. Il est possible d'organiser une intervention psychosociale avec des amis, des membres de la famille et d'autres personnes qui se soucient de son bienêtre. Vous pouvez demander le soutien d'un spécialiste, si nécessaire. Cependant, soyez prudente, car les interventions psychosociales peuvent mettre votre mari en colère ou sur la défensive [14] . 7 Évitez de créer un plan d'action immédiatement. Votre conjoint pourrait vous dire qu'il arrêtera de boire, que ses actions néfastes ne se reproduiront plus jamais et qu'il veut changer. Tout cela pourrait être vrai, mais il se peut qu'il cherche un moyen d'éviter une conversation gênante. Créez un plan après avoir eu le temps d'assimiler tout ce qui a été dit au cours de la conversation et de réfléchir [15] . Après votre discussion initiale, planifiez un moment où vous pourrez en parler davantage, lorsque vous aurez eu le temps de réfléchir à la première conversation. Vous pouvez vous rencontrer pour discuter des mesures que vous adopterez ensemble, comme vous débarrasser des bouteilles d'alcool. 1Ne vous attendez pas à ce qu'il change du jour au lendemain. Si vous êtes contrariée après la discussion avec votre mari et n'avez pas trouvé de solution, soyez forte. Considérez vos propos, vos actions ainsi que votre soutien comme une étape importante pour faire comprendre à votre mari son problème de dépendance et l'inciter à se faire soigner [16] . Cependant, souvenez-vous que vous ne pouvez pas contrôler ses actions et que, au bout du compte, il est responsable de ses décisions. 2 Opposez-vous à son déni. Il est fréquent que les alcooliques surtout les grands consommateurs de boissons alcoolisées trouvent toujours de bonnes excuses pour leur comportement et prétendent qu'ils n'ont pas de problèmes d'alcool. Au lieu d'essayer de combattre le déni de façon rationnelle, approchez votre mari en entamant avec compassion un dialogue sur vos préoccupations [17] . S'il nie avoir un problème, dites-lui gentiment comment cette situation perturbe votre sommeil ou celui des enfants, qu'il est agressif ou méchant avec vous ou à quel point son alcoolisme vous affecte. 3Faites-lui savoir que son alcoolisme crée une distance entre vous. Si votre conjoint continue à boire même en sachant que cela vous fait souffrir, dites-lui que ses problèmes de dépendance à l'alcool interfèrent avec votre relation. Son penchant pour l'alcool affecte votre capacité à avoir une relation saine avec lui. Si vous dites de façon claire à votre époux que son alcoolisme crée de la distance dans votre relation, cela peut avoir un impact sur lui et sur vous [18] . 4 Ayez votre propre réseau de soutien. Vous devez prendre soin de vous. Il y a des gens à qui vous pouvez parler de cette situation et qui vous soutiennent. Ne gardez pas le problème de votre mari secret vous devez avoir au moins une personne à qui vous pouvez parler de vos difficultés. Il est important que vous ayez un soutien émotionnel lorsque vous faites face aux difficultés de la vie [19] . Parlez-en à vos parents, à vos frères et sœurs, à vos beaux-parents ou à vos amis. Ne vous concentrez pas uniquement sur son problème d'alcoolisme assurez-vous également de vous confier à des gens en qui vous avez confiance. 5 Déterminez si le mariage est dans votre intérêt. Si votre mari refuse de recevoir de l'aide et que vous avez de nombreux doutes quant au fait que les choses vont s'améliorer, vous devrez peut-être réfléchir à votre mariage pour savoir si sauver votre couple est ce qu'il y a de mieux pour vous. Si vous avez l'impression que son alcoolisme est plus important que la relation elle-même, il sera temps d'examiner vos options. Lorsque vous prendrez cette décision, vous devrez peut-être tenir compte de votre qualité de vie, de votre sécurité et celle de vos enfants. Posez-vous cette question quelle est ma meilleure option dans laquelle je me respecte et respecte ma famille ? » S'il est violent avec vous, faites passer votre sécurité avant toute chose. Vous méritez d'être traitée avec respect en tout temps et les alcooliques mettent rarement fin aux abus, car la violence peut devenir cyclique. 1 Évitez de boire en sa présence. Si vous buvez près de votre mari, il aura encore plus du mal à s'en sortir [20] . Évitez à tout prix de consommer de l'alcool en présence de votre conjoint. Assistez plutôt à des évènements sociaux où les boissons alcoolisées ne seront pas servies. Lorsque vous invitez des membres de votre famille ou des amis à des réceptions, dites-leur de rester sobres. Vous pourriez devoir changer un peu vos plans sociaux ou votre cercle social. Au lieu d'aller dans un bar ou de siroter du vin avec des amis, organisez plus de soirées jeux ou cinéma. Participez à des activités n'impliquant pas la consommation d'alcool. 2Demandez-lui de se renseigner sur les groupes de soutien locaux. Il existe des groupes comme Alcooliques anonymes qui aident les personnes qui souffrent d'alcoolisme. De plus, les membres importants sont toujours prêts à aider les nouveaux en leur apportant soutien et conseils. Si vous vivez en France, consultez cette page pour savoir si une réunion des Alcooliques anonymes se tient près de chez vous. 3 Rejoignez vous-même un groupe de soutien familial. Vous savez mieux que quiconque à quel point il est difficile de vivre avec un mari alcoolique. Ne préserver toute seule une famille unie avec quasiment aucune aide de votre mari peut être dur à vivre. Partager votre frustration avec d'autres personnes qui ont vécu la même situation que vous peut être un soulagement. Elles peuvent également vous soutenir et vous conseiller sur la façon d'y faire face et sur la façon dont elles ont surmonté cette période difficile. Il existe quelques groupes d'entraide qui apporte un soutien aux familles dont un membre est alcoolique. Faites une petite recherche sur Internet. 4 Envisagez une thérapie ensemble. Si votre conjoint hésite à suivre une thérapie individuelle, dites-lui que le fait de suivre une thérapie de couple serait utile pour vous deux ou que vous voulez suivre une thérapie familiale. Un thérapeute pourrait aider à faciliter la phase de récupération de votre époux et vous fournir à vous deux un soutien tout au long du processus. Vous pouvez vous faire orienter vers un psychologue par l'entremise de votre médecin traitant ou de votre assureur [21] . Vous devrez peut-être trouver un thérapeute spécialisé dans les dépendances ou l'alcoolisme. La thérapie pourrait inclure le traitement des causes sous-jacentes de la dépendance, l'apprentissage de méthodes efficace pour la gestion du stress, ainsi que les traitements médicamenteux. 5 Demandez-lui de consulter un centre de traitement. Aller dans un centre de traitement est une excellente idée pour un alcoolique avéré ou lorsque l'alcoolisme est accompagné d'un diagnostic psychiatrique comme la dépression ou l'anxiété ou d'un diagnostic médical. Il existe des programmes de traitement hospitalier et ambulatoire qui peuvent dépendre de votre couverture d'assurance [22] . Choisissez le niveau de soins qui convient le plus à votre famille et à votre conjoint. Si votre mari a subi un stress ou un traumatisme grave ou s'il souffre d'un trouble psychiatrique, un centre de traitement peut être plus approprié qu'une thérapie hebdomadaire en consultation externe. 6 Sachez qu'il peut avoir une rechute. Adoptez un plan pour faire face à toute rechute potentielle [23] . Il est fréquent que les personnes luttant contre l'alcoolisme soient enclines aux rechutes pendant le rétablissement. Mettez-vous d'accord sur un plan avec votre mari ou avec son équipe de soins pour faire face aux rechutes. Par exemple, vous pourriez l'éloigner de la situation ou appeler son thérapeute ou son mentor. 7 Soutenez votre mari. Si votre conjoint commence un traitement et fait des progrès, n'ignorez pas chaque étape franchie [24] . Si vous remarquez qu'il fait un effort, félicitez-le. Identifiez tout ce qu'il fait de positif et assurez-vous qu'il sache que vous reconnaissez ses progrès. Célébrez même les plus petits progrès. Soutenez votre mari et faites-lui savoir que vous serez avec lui tout au long du processus. À propos de ce wikiHow Cette page a été consultée 33 044 fois. Cet article vous a-t-il été utile ?

Concrètement mon mari m'a dit qu'il n'arrivait plus à supporter ma déprime, mon caractère changeant et mon agressivité. Il m'a dit que cela faisait plusieurs années qu'il était Manque de respect dans le couple Tout comprendre pour mieux le combattre Nombreux sont les couples qu traversent des crises car l’un des deux partenaires a eu un mauvais comportement vis-à-vis de l’autre. Que ce soit par des paroles déplacées, des actes mal intentionnés, ou une souffrance psychologique infligée, votre couple peut se retrouver fragiliser quand les conflits sont répétitifs et que votre partenaire ne change pas d’attitude. Cette situation n’est pas supportable et faut donc agir au plus vite pour retrouver harmonie et sérénité. Découvrez dans cet article comment combattre le manque de respect dans le couple et les raisons qui peuvent conduire votre moitié à vous traiter de cette manière. Ainsi, vous allez être capable de retrouver le bonheur et une quiétude dans votre vie à deux. Pourquoi vous manque-t-il/elle de respect ? Le manque de respect dans le couple nait très souvent d’une volonté qui est néfaste pour le couple puisqu’elle consiste à obtenir le contrôle total sur le partenaire. En effet, en rabaissant constamment la personne qui partage son quotidien, il va naître automatiquement un sentiment de supériorité. Il y a donc l’exercice d’une pression psychologique qui peut nuire à la confiance personnelle du partenaire. Il s’agit d’un moyen pour certains de se sentir comme la personne la plus importante dans le couple. Le fait que votre homme ou votre femme ne vous respecte pas comme il se doit est aussi pour lui/elle un moyen de plus facilement imposer ses idées. En effet, il/elle ne se sentira pas obliger de communiquer avec vous et si malheureusement vous êtes trop fragile » pour réagir il/elle arrivera à ses fins. Cela peut être dur à avaler mais vous pouvez avoir aussi une légère part de responsabilité dans la situation que vous traversez aujourd’hui. En aucun cas je dis que vous méritez de vivre ce que votre moitié vous inflige quotidiennement. Mais vous devez vous poser les bonnes questions sur l’apparition de son comportement envers vous. Avez-vous su poser des limites au manque de respect dans le couple ? Avez-vous réagi dès les premiers dérapages ? A quel moment est apparu le phénomène ? Il s’agit d’autant de questions qui ont une importance capitale car pour résoudre le problème il faut en saisir l’origine. Je ne cesserais jamais de dire qu’il faut se montrer ferme lorsqu’il y a un écart de son partenaire tout comme avec une autre personne. Le manque de respect dans le couple en fait partie et dès les premières disputes vous devez toujours vous faire respecter et ne jamais le/la laisser vous rabaisser, proférer des menaces ou des insultes car la conséquence est souvent terrible puisque cela mettra à mal votre confiance en vous. Pour ne rien arranger, c’est souvent durant cette période que la dépendance affective apparait au grand jour ! Si vous vous refusez à tenir tête à votre conjoint, quand il/elle vous parle de manière inacceptable, par peur de le/la perdre c’est que vous devez travailler sur un point crucial qui va au-delà du couple votre assurance. Malgré les sentiments que vous pouvez avoir pour lui/elle, se laisser marcher dessus n’est pas tolérable et il faut ne pas perdre de temps pour faire face à cette situation. Au travers de mes coaching, je suis automatiquement confronté à des personnes qui traversent ce type de situation et j’ai pu me rendre compte à quel point elle pouvait être difficile à supporter notamment, quand vous envisagez un avenir ensemble et que vos sentiments sont plus forts que tout. Voilà pourquoi je veux vous aider à prendre les devants pour que vous retrouviez le bonheur et le respect que vous méritez tant ! La première étape consiste à ne plus se voiler la face et à affronter la situation avec cran et détermination. Nombreuses sont les personnes qui ne jugent pas utile de changer ce comportement et pensent que le temps permettra à leur partenaire d’évoluer et de cesser d’agir ainsi. Mais si vous laissez le manque de respect dans le couple, perdurer sans réagir il vous sera bien plus compliqué de lui/la faire comprendre que ses mots et son comportement vous affectent et mettent votre couple en péril. Comment ne plus subir ces critiques permanentes et affronter votre partenaire? Commencer par poser des limites ! Ne vous laissez plus atteindre sans répondre. Pour faire comprendre à sa moitié qu’il/elle doit changer il faut des actions fortes qui le/la forceront à réfléchir sur sa conduite. Pour cela, il est évident que le fait de mettre de la distance dans votre relation permettra à l’autre de réagir et de comprendre que les limites sont dépassées. D’un point de vue plus personnel c’est la confiance en soi qu’il est nécessaire de travailler. Chaque matin répétez des phrases d’auto-motivation, faites du sport pour évacuer votre colère et atteindre des objectifs qui vous permettront de croire en vous et en vos capacités de réaction. Amicalement, Votre coach pour combattre le manque de respect dans le couple Alexandre CORMONT Ecrit par Love Coach, auteur et conférencier dans les domaines de la séduction, de la vie de couple et de la reconquête. Depuis 2007, ce sont des milliers d'hommes et de femmes qui ont fait appel à ses services. Vidéos liées L'astuce incroyable pour prendre confiance en soi !L'exercice obligatoire pour développer sa confiance en soi !Comment refaire confiance en l’amour après un pervers narcissique ?Comment se remettre d’une déception amoureuse ?Comment captiver une personne avec l'Intelligence Émotionnelle ?4 juillet 2021 à 18h Les clés de la confiance en soi ! Conférence vidéo gratuite Ilprend plus soin de lui : Il n’y a pas de mal à ce que votre homme prenne soin de lui et accorde plus d’attention à son apparence. Mais quand votre partenaire n’a pas l’habitude

+5ShalanNinaMinettepaulamagaligarret9 participantsAuteurMessagemagaligarretNouveauNombre de messages 2Localisation MarseilleDate d'inscription 23/06/2005Sujet nouvelle inscrite! Jeu 23 Juin à 846 Bonjour à toutes!Je m'appelle Magali, et je suis une toute nouvelle inscrite sur le forum. Je viens de Marseille et je suis enceinte de 6 mois. Mon petit bébé est prévu pour le mois de septembre...l'attente est longue!! Je ne connais pas le sexe de mon bébé, çà sera la surprise le jour J!Je vous souhaite a toutes une bonne grossesse avec une suite des plus merveilleuses!A très vite, PititrucInvité paulaPoulette experteNombre de messages 1182Date d'inscription 24/01/2005Sujet Re nouvelle inscrite! Jeu 23 Juin à 904 MinettePoulette experteNombre de messages 919Date d'inscription 24/01/2005Sujet Re nouvelle inscrite! Jeu 23 Juin à 1030 coucou Magali Bienvenue sur le forum Félicitations un ptit pressentiment sur le sexe de ton petit ? Ninachef de bassecourNombre de messages 1930Localisation BDRDate d'inscription 23/01/2005Sujet Re nouvelle inscrite! Jeu 23 Juin à 1051 Magaliet bienvenue y'a aussi un bb pour septembre, c'est Sansan et sa ShalanPoulette experteNombre de messages 1183Localisation RennesDate d'inscription 24/01/2005Sujet Re nouvelle inscrite! Ven 24 Juin à 1149 Magalie,Bienvenue parmis nous ! liliRang AdministrateurNombre de messages 4259Age 44Localisation NordDate d'inscription 23/01/2005 Eve de messages 682Age 44Localisation Anjou Québec CanadaDate d'inscription 03/03/2005Sujet Re nouvelle inscrite! Lun 27 Juin à 147 Bienvenue Magalie !! Tu t'appelles comme la fille de mon mari !!! Elle a 3 ans ! mamanwinnieBavardNombre de messages 86Date d'inscription 01/02/2005Sujet Re nouvelle inscrite! Lun 27 Juin à 721 bienvenue ! LadouceModérateurNombre de messages 3223Age 42Localisation MarseilleDate d'inscription 24/01/2005 LadouceModérateurNombre de messages 3223Age 42Localisation MarseilleDate d'inscription 24/01/2005Sujet Re nouvelle inscrite! Jeu 30 Juin à 831 Ben alors Magali, t'es déjà reparti ??? Contenu sponsorisé nouvelle inscrite!

JacquesDutronc ne boit plus d'alcool: "C'est un handicap, une épreuve terrible". Jacques Dutronc - Soirée de la 9ème édition du "Etam Live Show" (Etam Lingerie) lors de la fashion week à Depositphotos Si vous buvez souvent de l’alcool, vous devriez lire cet article J’aurais aimé apprendre les informations suivantes il y a plusieurs années, ou du moins devenir plus conscient. Beaucoup de gens ignorent à quel point l’alcool peut être nocif pour notre santé. J’ai été choqué d’apprendre qu’il était considéré comme cancérigène et très surpris de découvrir que la consommation régulière inhibait la capacité naturelle du corps à produire des vitamines essentielles. Considérer l’alcool comme un anti-dépresseur, cette information montre clairement à quel point il peut avoir un impact négatif à la fois sur le mental et la santé physique, conduisant souvent à un cercle vicieux de l’auto-médication. Jetons un coup d’ oeil à certains des effets négatifs à long terme de l’alcool sur le corps. L’alcool est un cancérogène connu De nombreuses études mettent en corrélation la consommation d’alcool et le développement du cancer, reliant à la consommation régulière d’alcool pour les types de cancers suivants cancer du cerveau et de la gorge, cancer de l’œsophage, cancer du foie, cancer du sein, cancer colorectal, et plus encore. Sur la base des examens approfondis des études de recherche, il existe un fort consensus scientifique d’une association entre la consommation d’alcool et de plusieurs types de cancer. » National Cancer Institute Diminution de la production de vitamine B12. Des études ont montré que la consommation d’ alcool compromet vos niveaux de vitamine B12; si vous êtes déjà ou devenez déficient en cette vitamine essentielle, votre santé peut en souffrir grandement. Des études ont également conclu qu’une consommation régulière ou même modérée d’alcool peut avoir un impact sur vos niveaux de vitamines B12. L’alcool diminue l’absorption de la vitamine D et du calcium Il interfère avec le pancréas et sa capacité à absorber le calcium et la vitamine D et affecte également le foie, ce qui est important pour l’ activation de la vitamine D, qui est nécessaire pour l’ absorption du calcium. Cela peut conduire à des difficultés avec la régénération osseuse. Les Dommages du foie Cirrhose La cirrhose est une maladie résultant d’une atteinte hépatique permanente ou du développement de cicatrices dans le foie, et si un certain nombre de choses peuvent la provoquer , une cause commune est l’abus d’alcool . La cirrhose du foie peut être très grave, voire mortelle, et souvent le seul moyen de l’inverser est la chirurgie. Dépresseur L’alcool est un bon anti-dépresseur, malheureusement, dès que les effets sont envolés il y a un rebond des symptômes d’angoisse et de dépression, donc pour palier au retour de ces symptômes on boit de nouveau, de plus en plus et les rebonds se représentent ainsi de plus en plus et de plus en plus forts, l’alcool est un anti-dépresseur qui abaisse les niveaux de sérotonine dans le cerveau. Beaucoup de gens se tournent vers l’alcool pour soulager la dépression, mais beaucoup la développent à cause de l’alcool, c’est pourquoi cela peut devenir un cycle très vicieux pour certaines personnes. Perte de mémoire La consommation d’alcool ralentit les processus dans le cerveau, ce qui entraîne souvent une perte de mémoire. La consommation excessive d’alcool, d’ailleurs, peut entraîner des complets black-out », vous amenant à oublier où vous étiez, ce que vous avez fait, et même ce que l’on vous a fait. Au fil du temps, cela peut rendre difficile de se souvenir des événements qui se produisent alors même que l’on est sobre. Qu’est-ce qui arrive au corps tout de suite et surtout le jour suivant? Boire irrite l’estomac et les intestins , ce qui provoque une inflammation des muqueuses de l’estomac. Vous devenez déshydraté, la consommation de 50 g d’alcool dans 250 millilitres ml d’eau soit environ 4 boissons provoque l’élimination de 600 à 1000 ml ou jusqu’à 1 pinte d’eau pendant plusieurs heures. L’ alcool inhibe la production de glutamate , le glutamate est un stimulant dont le travail consiste à nous tenir éveillés. Cependant, lorsque notre taux d’alcool sanguin atteint zéro c. -à- temps de la gueule de bois, notre corps réagit en surproduisant ce stimulant, qui se traduit par un mauvais sommeil. Selon cette recherche, une explication possible de la gueule de bois induite par l’ alcool est que l’ alcool a des effets sur les neurotransmetteurs, l’histamine, la sérotonine et la prostaglandine. Comment savoir lorsque c’est trop? Depositphotos Selon le Centre canadien de toxicomanie et de santé mentale, les femmes ne devraient pas boire plus de 10 verres par semaine et pas plus de 2 verres par jour. Les hommes ne devraient pas boire plus de 10 verres par semaine, et pas plus de 2 verres dans une seule journée. Et vous n’êtes pas censé boire tous les jours de la semaine . Je ne sais pas pour vous, mais un jour où je sors et que j’ai l’ intention de boire , il est très rare que je consomme que 2 boissons. Quelques réflexions personnelles sur la question Apprendre les réelles conséquences néfastes de l’alcool sur la santé a fait résonner en moi les raisons de sa forte présence dans les médias.. Il est rare de voir une émission de télévision ou un film où les personnages ne consomment pas régulièrement de grandes quantités d’alcool, et ces deux personnages ou ceux dans les publicités d’alcool sont dépeints, à des degrés divers, aussi sexy, cool, spontanés, et amusants. En fait la promotion de l’ alcool dans le mercantilisme grand public a rapporté avoir dépensé 8 milliards sur la publicité entre 2002-2009. Même si la connaissance des dangers de l’ alcool est loin d’être aussi commune que le tabac, pourquoi n’en parle t-on pas plus? On dit que le sucre est le tabac du 21 e siècle, mais il semble que la vérité sur les dangers de l’ alcool soient largement ignorés. Même de nombreux blogs de santé alternatifs populaires ne semblent pas accorder trop d’ attention à l’idée. Est – ce parce que beaucoup de gens aiment l’ alcool et la façon dont il les fait se sentir et préfèrent fermer les yeux? Ou y a – il un intérêt à garder ces informations au calme? Sans être totalement négatif, tout cela me fait penser à George Orwell 1984 et comment les personnages privés de l’histoire ont tout simplement pris l’ alcool comme un moyen de les garder heureux et d’échapper à leur existence misérable. S’il vous plaît ne vous méprenez pas – j’aime autant l’alcool que les autres, voire plus, car cela peut être un excellent moyen de se lâcher, d’avoir du plaisir, ou même tout simplement se détendre, mais cette information m’a vraiment fait réfléchir dernièrement. Surtout après ne pas avoir bu du tout en Février, j’ai réalisé à quel point je me sentais mieux de jour en jour et ce que je pouvais accomplir, je pense que c’est quelque chose dont nous pourrions tous bénéficier. Qu’en pensez-vous? Si vous êtes quelqu’un qui aime un verre occasionnel de vin ou une bière, vous pouvez très bien ne pas comprendre cet article. Il est probable que si vous vivez un style de vie en bonne santé, ces effets négatifs n’auront pas beaucoup d’impact sur vous. Mais si vous êtes quelqu’un qui boit régulièrement, ou qui utilise l’alcool comme une évasion, cette information est vraiment utile. Pourquoi ne pas faire une pause avec l’alcool et voir si votre humeur s’améliore? Si vous trouvez que vous utilisez l’alcool comme un moyen de faire face au stress, envisagez une alternative, comme la course ou la marche, passez quelques minutes dans le sauna, ou même méditez. Essayez de faire quelque chose de positif pour réduire votre stress plutôt que de fuir avec de l’alcool. Quelques avantages à faire une coupure ou arrêter l’alcool Pixabay Meilleure humeurPlus d’économiesMoins ou pas la gueule de boisPlus de temps pour faire avancer les chosesNe pas avoir de regrets de quelque chose de stupide que vous avez peut-être faitUne meilleure mémoireUn mode de vie sain Si vous êtes à la recherche de sources pour vous aider à faire une coupure, contrôler, ou même arrêter votre consommation d’alcool, il y en a un certain nombre à votre disposition. S’il vous plaît allez voir les liens affichés ci-dessous. // / / / Avez-vous abandonné l’alcool, ou fait un effort conscient pour réduire? Quelle a été votre expérience? S’il vous plaît partagez dans la section des commentaires ci-dessous! / Source
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Etje ne sais pas quoi faire non plus parce que je ne voudrais pas que ça se retourne contre moi. J’ai 3 chiens, qui sont souvent dehors. Ils aboient quand quelqu’un passe devant mon portail, puis se taisent, rien de dérangeant. Mais j’ai peur que mon voisin se plaigne aussi, comme je me plains du sien.

Bonsoir, je ne pense pas pouvoir résumer le cauchemar que je vis dans un seul message. Ce que je peux dire c'est que mon copain boit beaucoup trop. Il boit sans exception tous les jours. Cela peut être juste deux bières de 500 ml donc un litre en fin de compte, mais ça peut être 4 bières de 500 ml plus une bouteille de rosé comme hier soir par exemple. C'est à peut près comme le vendredi et le samedi soir car c'est le weekend. Sinon c'est 2 à 4 bières de 500 ml ou 8 -9 de 250 ml en semaine. Nous sommes étudiants tous les deux et cela est devenu invivable pour moi. Je n'arrive plus à gérer ce problème, l'entretien de notre maison et mes cours. En plus, il faut que je pense à moi et à ma famille ma mère étant veuve... Je viens d'une famille de la classe moyenne. Mon copain vient d'une classe plus aisée. Nous n'avons pas de soucis particulier et nous ne manquons de rien. Cependant, je sais car je le vois que le père de mon copain bu également trop et que sa mère buvait également beaucoup avant qu'elle fasse un AVC l'année dernière. Depuis le début de notre histoire je savais qu'il était comme ça, mais je pensais que ça pouvait changer. Mais ce n'est malheureusement pas le cas. Ça va, ça vient. Il refuse de me perdre mais il refuse également d'arrêter l'alcool. Le problème c'est qu'il ne veut pas s'avouer qu'il est m'a promis qu'il allait arrêter mais quand ils voient les publicités à la télévision, il rigole et en fait de même quand quelqu'un parle en tant qu'ancien alcoolique ! Je ne sais pas si sa mère buvait pendant qu'elle était enceinte de lui mais je sais que pour lui boire 3 litres de bière par soir c'est normal car c'est logique de boire 2 3 bouteilles de vins avec son père. Je pense qu'il est conscient mais qu'il ne veut pas l'avouer. Il a souvent des trous noirs pendant les soirées alors il n'en fait plus, du coup il boit tout seul à la maison et c'est horrible que je me réveilles, il pu l'alcool et il me case des objets et me mets du bazar dans la maison. Il est toujours désolé et veut que je sois affective avec lui mais je ne peux plus ! Parfois, il le réveille dans la nuit, complétement désorienté, et il parle de n'importe quoi. Et le lendemain matin, il boit de nouveau pour oublier la veille. Je ne sais absolument pas quoi faire et je suis à deux doigts de faire mes valises. J'aimerai l'aider mais je ne peux pas, il ne veut pas en entendre parler. Je sais que c'est quelqu'un de bien mais l'alcool le détruit. J'aimerai des solutions mais aussi j'ai besoin de parler avec des personnes qui peuvent ressentir ce que je ressens aujourd'hui... Merci à vous.
Ausecours, je ne supporte plus ses défauts ! Par Vincent Vidal. Au début de votre relation, les défauts de votre mec ne vous dérangez pas. Vous trouviez sa mauvaise humeur du matin SOMMAIREQue faire si vous avez une mère toxique ?Définition une mère toxique, c’est quoi ?Pourquoi une mère maltraite-t-elle son enfant ?Voici une vingtaine de profils de mères toxiquesComment Se Libérer de l’Emprise d’une Mère Toxique ? Que faire si vous avez une mère toxique ? De nombreux enfants et adolescents souffrent d’avoir une mère toxique. Mais à l’âge adulte, nombreux sont ceux qui continuent de souffrir parce qu’ils ont vécu longtemps avec une mère nocive. Beaucoup des adultes qui ont subi la toxicité maternelle nient leur souffrance et ont toujours du mal à reconnaître ou accepter que leur mère ait pu être toxique. Mère Toxique 20 Profils Comment peut-on savoir que l’on a une mère toxique ? La réponse est simple C’est quand on souffre personnellement sentiment général d’insatisfaction, quand on réalise qu’on sabote toutes nos relations ou quand on se rend compte que notre vie est une succession d’échecs projets, désirs, relations,… C’est bien souvent la toxicité d’une mère parfois aussi celle d’un père toxique qui fait la différence entre une personne heureuse qui s’épanouit et une personne malheureuse qui vit avec des doutes. Si vous avez un lien toxique avec votre mère, alors lisez la suite de cet article, je vais vous expliquer 1. C’est quoi une mère toxique et comment la reconnaître 2. Pourquoi une mère maltraite son ou ses enfants ? 3. Quels sont les profils habituels de mères toxiques ? 4. Comment se libérer d’une mère toxique… . Définition une mère toxique, c’est quoi ? Une mère toxique n’est pas une notion psychiatrique » mais quelque chose qui apparait quand la relation s’est mal établie entre une mère et son enfant et donc que celle-ci devient dangereuse pour son enfant. La mère est toxique dès lors qu’elle ne laisse pas l’enfant se développer et devenir lui-même mais contribue plutôt à le détruire. Le problème est sérieux car très souvent l’enfant ne se rend pas compte que le comportement de sa mère est anormal. Il fait alors comme si » le comportement toxique de sa mère était normal. C’est seulement à l’âge adulte que la plupart de ces enfants pourront se rendre compte de la véritable toxicité de leur mère mais pas tous !. Le plus souvent il s’agira d’une relation toxique mère-fille. Comme vous allez le découvrir un peu plus bas, la mère toxique peut se présenter sous différents profils plus ou moins toxiques… Mais avant cela, posons-nous la question suivante . Pourquoi une mère maltraite-t-elle son enfant ? Dans certains cas, une mère va maltraiter son enfant parce qu’elle a elle-même été maltraitée durant son enfance. On va dire qu’elle reproduit bêtement » ce qu’elle a vécu. Fort heureusement, une minorité des enfants maltraités vont reproduire le cycle toxique de la maltraitance. Pour bien comprendre la situation, il faut savoir qu’une mère qui empoisonne » la vie de ses enfants est toujours elle-même une personne en souffrance sinon, il est bien évident qu’elle ne se comporterait pas de cette façon. Mais tant qu’il ne sera pas devenu un adulte, il sera difficile pour un enfant de réaliser que sa mère puisse souffrir et donc être défaillante avec lui. Ainsi et de façon générale, on peut retenir qu’une mère sera toxique si elle souffre d’un profond manque d’estime d’elle-même, aussi si elle manque de confiance en elle ou encore si elle a peur que son enfant lui échappe. Elle va alors se comporter d’une façon qui vise à dominer et garder un contrôle permanent sur son enfant. Dans des cas rares, des mères maltraitent physiquement leur enfant car elles seraient porteuses d’un trouble du comportement comme dans le syndrome de Münchhausen par procuration ». En passant, signalons qu’il est possible d’observer un rejet du bébé en période de dépression post-natale pour certaines mères mais cette situation est très souvent passagère. Il est encore à remarquer qu’une mère ne sera pas forcément destructrice et toxique de la même façon avec tous ses enfants… . Voici une vingtaine de profils de mères toxiques La toxicité de la mère prend souvent la forme d’un harcèlement sournois et insidieux qui dure de longues années. Les profils habituels sont les suivants ➤ une mère manipulatrice qui joue avec les sentiments de ses enfants ou qui souffle en permanence le chaud et le froid par exemple, parfois elle donne de l’amour à son enfant, parfois elle adopte une attitude froide et distante ; parfois elle motive et encourage son enfant et d’autres fois, elle le décourage totalement… ➤ une mère qui ne sait pas aimer elle n’aime pas ce que sont ses enfants ou ce qu’ils font tu aurais dû être ou faire comme ceci ou cela… ». La carence de lien affectif apparaît lorsqu’une mère n’aime pas son enfant ou ne sait pas lui montrer son amour, leur faire des câlins, leur dire je t’aime », leur montrer des marques d’affection… L’absence d’amour maternel est toxique car pour se construire et s’aimer lui-même, l’enfant a besoin du regard aimant de ses parents. ➤ une mère hyper exigeante qui fait continuellement douter ses enfants en leur répétant qu’ils ne font jamais les choses assez bien à ses yeux, qu’ils sont incapables ou pas à la hauteur tu es décevant comme d’habitude », décidément, tu ne sauras jamais rien faire correctement ! »… Si ces messages sont régulièrement répétés, ils ont de graves conséquences sur la confiance en soi de l’enfant et entrent dans le cadre de la maltraitance psychique. ➤ une mère qui compare ses enfants entre eux et qui établit des préférences en valorisant certains au détriment des autres regarde ta sœur, elle au moins elle a des diplômes… », Prends exemple sur ton frère, lui au moins, il a des bonnes notes ! », ta sœur, elle au moins elle ne me déçoit pas ! » ➤ une mère qui fait des reproches pour que son enfant se sente coupable et/ou redevable tu aurais dû… », tu m’épuises… », sans toi, ma vie aurait été nettement meilleure… » Ces petites phrases vont générer chez l’enfant et jusqu’à l’âge adulte, un sentiment de culpabilité. je me suis sacrifiée pour toi ! », avec tout ce que j’ai fait pour toi… », si tu n’étais pas né, je ne serais pas… » ➤ une mère égocentrique qui, tout le temps, ne pense qu’à elle et ne s’intéresse pas à ce que font ses enfants sinon pour leur dire qu’elle sait toujours mieux qu’eux comment faire… ➤ une mère narcissique ou une mère perverse narcissique qui est immature et du fait de sa profonde blessure narcissique va prendre un certain plaisir à humilier ou rabaisser ses enfants pour avoir un contrôle total sur eux. ➤ une mère qui gronde, qui critique sans cesse ou qui rabaisse en public ses enfants tu es la honte de la famille ! », tu es un fainéant ! », tu as toujours été nulle ! »… ➤ une mère qui se fait éternellement passer pour une victime en reportant toutes les fautes sur ses enfants si tu n’étais pas là… », si je ne t’avais pas eu, j’aurais pu m’acheter ça… » ➤ une mère qui maltraite physiquement son enfant. Vous devez garder à l’esprit que la négligence est la forme de maltraitance des enfants la plus courante. Par exemple, une mère absente, une mère qui ne s’occupe pas de son enfant, qui lui manque de soins ou encore quand les besoins en nourriture de l’enfant ne sont pas satisfaits. ➤ une mère possessive, dominatrice ou castratrice voyez ici mon article sur la mère castratrice qui empêche son enfant de forger sa propre personnalité. ➤ une mère qui met dans la tête de son enfant des mensonges ou des fausses croyances affirmations abusives ton père ne t’aime pas », tu es un égoïste », tu n’es pas assez douée pour réussir », … ➤ une autre exemple de mère toxique la commère » intrusive qui intervient et se mêle tout le temps de ce qui se passe dans la vie privée et familiale de ses enfants en particulier lorsqu’ils sont devenus adultes elle se mêle du choix du conjoint, fait ses remarques sur la vie de couple ou encore sur la façon d’éduquer les petits-enfants…. ➤ une mère qui fait un déni d’existence », qui isole, qui rejette ou qui abandonne carrément son enfant manque de bienveillance car elle ne parvient pas à établir de lien et d’attachement avec son enfant. ➤ une mère incapable de fixer des limites à ses enfants elle est soit trop permissive soit trop restrictive, sévère, avec trop d’interdits car incapable de faire confiance à ses enfants… ➤ la mère inquiète et défaitiste qui s’attend toujours au pire » , qui voit des dangers partout et ne sait donc pas encourager son enfant ta relation, ça ne durera pas », attention !,… », tu n’as aucune chance de réussir… » ➤ une mère qui terrorise son enfant par ses crises de colère, son impulsivité, sa violence, son agressivité ou ses angoisses. ➤ Parfois, il s’agira simplement » d’une mère mal dans sa peau malheureuse, complexée, peureuse, phobique, anxieuse, angoissée, jalouse, pessimiste, dépressive, seule,… et qui transmet tout son mal-être à ses enfants. ➤ une mère qui panique à l’idée de se retrouver seule ou de se sentir inutile va infantiliser son enfant et continuer à le traiter comme un bébé même lorsqu’il aura atteint l’âge adulte. Les mères toxiques vont alors empêcher leur enfant de s’émanciper, de prendre son autonomie émotionnelle et physique laisse-moi choisir les vêtements qui te vont bien, tu n’en est toujours pas capable à ton âge… » ➤ la mère la plus toxique sera celle qui fait sentir à son enfant qu’il est inexistant et sans importance en le laissant seul, en l’ignorant quand il fait quelques chose de bien, en ne le regardant pas ou en le considérant comme un simple objet… ➤ … la liste ne s’arrête malheureusement pas là… Si votre mère est une personne toxique, il y a alors un risque que vous tombiez vous-même sur des partenaires qui abuseront de vous manipulateurs ou manipulatrices. Voyez ici comment réussir votre vie amoureuse en sortant des échecs amoureux liés aux conjoints manipulateurs. . Si vous avez affaire à une mère toxique, votre personnalité toute entière est influencée par ce parent manipulateur et vous êtes probablement encore aujourd’hui sous son emprise. Même si elle vous a pourri la vie pendant des années, il ne faut pas renoncer car vous avez en vous les ressources nécessaires pour vous en sortir. Comment s’en sortir concrètement avec une mère abusive ? Voici quelques pistes de réflexion qui pourraient vous aider ☞ C’est un travail d’auto-analyse sur soi-même qui est souvent le plus efficace. Se comprendre soi-même est un bon point de départ pour pouvoir comprendre la situation avec votre mère toxique. Ainsi par exemple, si vous êtes en âge adulte, vous n’avez plus besoin de vivre en recherchant continuellement la reconnaissance ou l’approbation de votre mère. Et si aujourd’hui vous continuez à vivre dans la peur du jugement de votre mère, alors il est juste temps pour vous de devenir un adulte libre ». Vous n’avez plus à devoir plaire à votre mère ni à vouloir être ou ressembler à l’enfant que votre mère aurait voulu avoir. Au lieu de cela, efforcez-vous d’exprimer VOTRE propre personnalité sans plus vouloir devenir celle ou celui que votre mère a décidé pour vous. Vous devez définir vous-même qui vous êtes et qui vous voulez devenir et ne plus laisser la tâche à votre mère de vous façonner. Pour cela, il faut impérativement BRISER vos anciens modes de pensées qui sont dus à votre mère. Faites ce petit exercice prenez une feuille de papier, tracez-y deux colonnes. Dans la première colonne à gauche intitulée mensonges », indiquez les croyances négatives portées par votre mère ce qu’elle pense de vous. Par exemple tu ne fais jamais rien correctement..», tu es égoïste », tu seras toujours ma petite fille », etc. et dans la colonne de droite intitulée vérités », placez toutes les vérités qui correspondent à ce que vous êtes vraiment ce que vous pensez de vous selon vos ressentis et vos expériences. Par exemple j’ai bien réussi ceci et cela », je me trouve plutôt généreuse et altruiste », non, je ne serai pas toujours une petite fille mais je suis une adulte avec ma vie personnelle », etc.. Continuez l’exercice en démontant une par une toutes les idées mensongères de votre mère à votre égard. ☞ Si vous avez une famille toxique » et que vous subissez la manipulation du père ou de la mère, le comprendre est la toute première étape avant d’apprendre et de connaître les techniques pour déjouer les manipulateurs et sortir de la relation toxique. Sous l’influence d’un lien toxique avec votre mère, vous avez tendance à croire que le comportement dit toxique » de votre mère est normal ». Par exemple si elle vous culpabilise, vous penserez qu’elle a raison… etc. Mais pour grandir et vous reconstruire, vous devez prendre un peu de recul et comprendre que ce n’est pas normal de se faire culpabiliser. Quand on est victime d’une mère toxique et qu’on culpabilise ; il faut une prise de conscience pour sortir de la culpabilité sans avoir l’impression de trahir sa mère. Ce sera le moment pour vous de ressentir une grande libération. ☞ Ensuite, après la phase de compréhension, il faut essayer d’accepter la réalité d’avoir une mère toxique – et si c’est possible, essayer de lui pardonner sa toxicité qui vient de son enfance et de ses souffrances. Votre mère est ce qu’elle est et c’est à vous de l’accepter telle qu’elle est. Car elle ne changera pas. Dites-vous simplement qu’elle ne pouvait pas faire autrement en fonction de son vécu personnel. Elle a fait ce qu’elle pouvait en fonction de ce qu’elle était ». Quelques fois, il faut savoir dire que vous n’aimez pas votre mère toxique tout en acceptant que la situation soit en réalité plus complexe avec des moments d’amour et des moments de désamour… Voici un article qui devrait vous aider à lâcher prise avec votre mère toxique. ☞ Si c’est le cas, vous devez arrêter d’entrer systématiquement en conflit avec votre mère. Arrêter aussi de vous mettre en colère contre elle. Cela ne sert à rien. Il est inutile de vous mettre en colère ou d’avoir de la haine contre votre mère toxique avec l’intention de la corriger… Peut-être qu’au début cette colère vous aidera mais vous devez absolument avancer et comprendre que la colère est inutile voire toxique pour vous-même. ☞ Vous devez aussi apprendre à dire non » à votre mère et parfois aussi, être capable de dire non » à la relation avec votre mère. Il est bien évident qu’il vous sera plus facile de fixer vos limites à votre mère lorsque vous aurez pris votre indépendance économique vis-à-vis d’elle… ☞ Si votre parent toxique est dangereux mère violente, il sera parfois nécessaire et vital de couper les ponts, de vous éloigner physiquement pour votre sécurité et pour conquérir votre autonomie. ☞ Si vous voulez sortir définitivement de son emprise psychologique, vous pourriez ressentir le besoin d’extérioriser la relation que vous avez eu avec votre mère. Dans ce cas, parlez-en avec une personne de confiance, racontez-nous votre histoire dans les commentaires ci-dessous ou écrivez une lettre ou, pourquoi pas, un livre… Écrire est un acte libérateur ! Inscrivez tout ce que vous avez subi, ce que vous avez ressenti ainsi que ce que vous attendiez d’une mère aimante et bienveillante. Ensuite lisez cette lettre à haute voix. Mais ne l’envoyez pas ! gardez-la pour vous. ☞ Si vous êtes actuellement en dépression à cause des liens toxiques que vous avez connus depuis votre naissance avec votre mère, c’est sans doute que vous avez des blessures profondes et difficiles à surmonter. Dans ce cas, vous avez besoin d’une aide psychologique pour vous en sortir; n’hésitez pas à consulter un professionnel. Les personnes victimes de leur mère toxique vont, dans la majorité des cas, réagir positivement et ne pas reproduire la toxicité avec leurs propres enfants. Prenez le temps de l’analyse et concentrez votre énergie pour ne pas devenir toxique et maltraitant avec vos propres enfants ! La règle est que vous avez toutes les chances de ne pas devenir vous-même un parent toxique si vous vous occupez bien de vous sécurité, estime personnelle, confiance en soi, bien-être affectif, … Si vous avez le moindre doute, je vous propose de faire ce test pour vérifier si vous êtes plus ou moins toxique pour vos enfants… ☞ De toute manière, il faut vous atteler à reprendre confiance en vous. Le préalable est de penser à vous en priorité et décider de prendre en main votre propre destin. Si vous avez manqué d’affection carence affective au point que vous ne vous aimez pas assez, que vous manquez encore de confiance en vous, sachez qu’il n’est jamais trop tard pour corriger le tir Apprenez à vous aimer vous-même Cliquez ici pour Avoir 100% Confiance en Vous . Auteur de cet article Michaël LIZEN - Copyright ©2020 All Rights Reserved - Tous Droits Réservés . Jefais la prière mais mon mari ne la fait pas, en plus il boit de l’alcool et parfois même en ramène avec lui à la maison. Il est un musulman non pratiquant. Qu’est-ce que je Publié le 03/06/2015 à 1215, Mis à jour le 03/06/2015 à 1911 Apprendre que votre ex s'est recasé très rapidement peut vous enfoncer... ou vous faire rebondir plus vite. Photo Getty Images Pierre Moscovici va se marier dans quelques jours, sept mois seulement après s'être officiellement séparé de celle qui fut sa compagne pendant six ans. Quand quelqu'un refait sa vie rapidement, cela veut-il forcément dire qu'il n'a pas vraiment aimé son ex ? La psychologue Élodie Cingal nous éclaire. Cela fait des jours que vous pleurez en repensant à ces beaux moments où l'amour donnait tout son sens à votre vie. La rupture est récente. Au fond de vous, vous savez que c'est sans doute mieux ainsi. Mais remonter la pente peut être long et vous auriez bien besoin d'une rampe sur laquelle vous appuyer. Manque de chance, un malheureux soir d'hiver, vous tombez sur cette photo de votre ex sur Facebook avec une femme à son bras, souriant comme un dieu, comme si votre rupture d'il y a quinze jours n'avait jamais eu lieu, comme si vous n'aviez tout simplement jamais existé. Vous dégringolez tout en bas de la piste. Pour autant, si votre ex s'est recasé illico presto après votre séparation, cela ne signifie pas forcément qu'il va bien. Ni qu'il vous a oubliée. La psychologue Élodie Cingal répond à toutes ces - Quand un ex retrouve quelqu'un tout de suite après nous, c'est souvent un moment terrible à vivre... Mais s'agit-il d'une douleur sentimentale ou d'une blessure d'ego ?Élodie Cingal. - On veut être le premier à refaire sa vie car on a envie de réussir et de se reconstruire plus vite que l'autre. On imagine qu'il existe un système de vases communicants entre son ex et soi. Pendant des années, on a été dans le mimétisme, on a suivi la même voie que l'autre, qui était un repère. Après une rupture, on pense encore à soi en se comparant à l'autre, de façon compétitive. S'il est heureux, on a l'impression que son bonheur nous enlève quelque chose. Le regard des autres est aussi pesant. Si vous vous remettez rapidement, on vous dira "bravo". À l'inverse, on vous soutiendra difficilement si au bout de six mois, vous ne parvenez toujours pas à faire votre deuil. Pourtant, ils ont tous vécu cette situation, ils ont juste oublié. Ce qui est plutôt rassurant. Ces personnes ne se sentent pas en sécurité seules Si l'autre se recase rapidement, cela veut-il dire qu'il ne nous aimait pas tant que ça ?Non. Il y a tellement de raisons extérieures qui poussent quelqu'un à faire cela... Ce n'est pas parce qu'on refait sa vie qu'on efface l'amour. Dans la précipitation à se remettre en couple, il ne faut pas chercher le degré d'amour mais accepter que l'autre joue quelque chose de son histoire, qui n'appartient qu'à lui. Souvent les hommes se remettent plus rapidement en couple que les femmes. Non pas par amour pour la prochaine, mais parce qu'ils sont fragiles et ont pris l'habitude de s'en remettre aux femmes dans beaucoup de domaines de leur vie. Certains sont quittés ou quittent le partenaire qu'ils aiment encore et se remettent en couple vite, c'est une situation banale. Ces personnes présentent en général un profil dépendant, elles ne se sentent pas en sécurité quand elles sont seules. Si vous vous mariez huit mois après une rupture, il y a une certaine forme de pathos derrière tout nouveaux amants ne sont donc pas vraiment très aimés ?On peut aimer à nouveau très vite... tout en étant encore amoureux de son ex. On pense encore en termes de vases communicants "Si tu aimes quelqu'un d'autre, c'est que tu ne m'aimes plus." C'est faux. Cela fait deux mille ans qu'on essaie de faire de nous des couples exclusifs, ce qui n'est pas naturel. Nous avons un cœur qui peut aimer plusieurs personnes en même temps. D'un point de vue comportemental, l'arrêt de l'amour est réel en revanche la nouvelle amante devient la référente. Avec elle, l'ex fait des choses qu'il ne faisait jamais avec nous. On peut se sentir rejetée, niée, fait qu'un ex retrouve quelqu'un si vite peut-il aider la personne à se remettre de la rupture ou cela va-t-il au contraire l'enfoncer ? Ce genre d'évènement ne fait qu'exacerber la dynamique dans laquelle la personne en rupture s'est déjà placée. Si elle ne veut pas faire le deuil et ne veut pas avancer, cela va l'enfoncer. Si elle était dans un processus de reconstruction, cela va la booster. Il faut surmonter le choc, sortir de la logique des vases communicants et travailler sur l'acceptation. Certaines vont vouloir sortir en boîte, boire, faire la fête par esprit de revanche, pour vivre une illusion et ne pas voir leur propre situation en face. Ce n'est pas parce qu'elles vont elles aussi se recaser aussitôt qu'elles iront lire aussi Le désarroi des parents quand leur ado souffre d'un immense chagrin d'amourJusqu'où peut-on aller par vengeance après une rupture ?Pervers narcissiques comment leur survivre après la rupture À lire aussi Ce que vous ignorez sans doute sur la psychothérapiePour vous, une séance chez un psy rime avec décennies allongées sur un divan, professionnel mutique, et lapsus forcément révélateurs... Mais n'êtes-vous pas curieuse de savoir ce qu'il se passe réellement à l'intérieur d'un cabinet ? Analyse de toutes les idées reçues. Comment trouver le bon psy qui vous fera avancerDepuis avril, il est possible de bénéficier du remboursement de 8 séances d'accompagnement psychologique par an. Mais en amont de cette démarche, comment trouver l'oreille adéquate ? Éclairage et conseils de professionnels. 40 ans, la première année du reste de nos viesENQUÊTE - Reconversions, ruptures, déménagements… Le cap de la quarantaine est, bien souvent, synonyme de bouleversements intimes et professionnels. Des transformations qui peuvent culminer en véritable crise - mais aussi se révéler riches d'enseignements.
Bonjour Je suis marié depuis 24 ans. La névrose de mon mari a été diagnostiquée suite à un alcoolisme sévère. Depuis 14 mois il ne boit plus mais son comportement me pose beaucoup
Tue-l’amour et brise-couple, l’infidélité est parfois difficile à détecter ! Pour y voir plus clair, voici 6 signes d’infidélité qu’il ne faut pas prend plus soin de lui Il ne vous demande plus de l’accomagner Il est toujours en colèreLe sexe est différent !Il boit plus et vous néglige Il a changé le code de son téléphone Il prend plus soin de lui Il n’y a pas de mal à ce que votre homme prenne soin de lui et accorde plus d’attention à son apparence. Mais quand votre partenaire n’a pas l’habitude de passer des heures à la salle de bain avant de sortir ou de contempler son placard pendant des minutes avant de choisir la bonne chemise, cela devrait vous mettre la puce à l’ est aussi valable pour le sport ! Si votre chéri n’a jamais mis les pieds dans une salle de sport, alors que vous lui avez offert un abonnement d’un an, et que d’un coup, son petit bidon le dérange, sachez qu’il vous cache des choses !Il ne vous demande plus de l’accomagner Votre partenaire est souvent invité à des dîners d’affaires et assiste à des évènements organisés par l’entreprise où il travaille ? Il ne vous demande plus de l’accompagner, alors que vous savez que les femmes de ses collègues seront présentes ? Mesdames, sachez que votre homme ne veut pas que soyez avec lui et il y a une raison derrière ! Il se peut qu’il ne vous trompe pas au vrai sens du terme, mais qu’ils flirtent avec d’autres femmes. Et ceci est évidemment inacceptable ! Votre partenaire peut aussi trouver des excuses pour que vous ne l’accompagniez pas à ce genre d’évènements. Il peut vous dire qu’il n’est pas à l’aise quand vous êtes là, alors qu’avant il se lâchait complètement devant vous ! Essayez donc de faire attention aux petits changements !Il est toujours en colèreSi avant, votre partenaire ne s’énervait que rarement et pour des choses importantes, maintenant, il suffit d’un petit souci pour qu’il s’emporte. Ceci ne veut pas forcément dire qu’il vous blâme ou qu’il ne vous supporte plus pace qu’il a maintenant quelqu’un d’autre dans sa vie, mais il se peut que se soit sa conscience qui le torture. Votre chéri vous trompe et se sent coupable et c’est sur vous que ça retombe ! Il n’a pas le courage de vous dire la vérité et essaie de retourner tout contre vous, c’est son mécanisme de défense contre ce sentiment de culpabilité qui le ronge. Il se peut aussi que votre homme commence à vous critiquer aspect vestimentaire, façon de parler, maquillage…. Ne tolérez pas ces sautes d’humeur et ses comportements et ne le laissez surtout pas impacter votre confiance en vous !Le sexe est différent !À force de côtoyer une personne, on finit par bien la connaître et ceci sur tous les plans, même sexuellement. Ainsi, au lit on anticipe ses gestes et mouvements et au moindre nouveau détail, l’alarme se déclenche ; tiens tiens, il en a appris de nouvelles choses, mais où ? Si vous savez que votre chéri n’est pas un adepte des sites pornographiques, il y a de fortes chances que ses nouvelles prouesses sexuelles soient inspirées de sa nouvelle négligez pas non plus ses nouvelles requêtes au lit. Ceci aussi est un signe que votre homme voit boit plus et vous néglige Votre homme s’est remis à fumer alors qu’il a arrêté depuis des années, il boit plus et passe plus de temps avec ses amis », plutôt que de rentrer à la maison ? Mesdames, ces signes ne sont pas à négliger ! Le fait qu’il adopte de mauvaises habitudes peut être dû à une influence externe, comme il peut s’agir d’une réponse autodestructive qu’il s’inflige car il se sent coupable de vous avoir trompé et n’arrive pas à vous dire la vérité ou à vous avouer qu’il souhaite vous quitter. Faites donc attention à ses comportements !Il a changé le code de son téléphone Vous avez remarqué que votre homme a changé les mots de passe de tous ses comptes sur les réseaux sociaux et celui de son téléphone, alors que normalement vous partagiez ce genre de choses ? Il n’y a pas de doutes, votre chéri a des choses à cacher ! Vous devez donc faire plus attention aux changements qui peuvent accompagner ce soudain besoin d’intimité et d’espace personnel, afin de connaitre vraiment si votre homme vous trompe ou pas. Si vous essayez de le confronter, il va certainement nier qu’il vous cache quelque chose. Essayez donc de vous y prendre de manière plus intelligente. Lire aussi L’infidélité est un choix pas une erreur » 8hQMIuM.
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