Jene me sentais plus respectée, il n'avait plus de tendresse à mon égard et plus de reconnaissance pour tout ce que je faisais dans la maison et pour les enfants. Il a été très surpris lorsque je lui ai confié mon intention de le quitter. Il ne savait pas à quel point je souffrais parce que j'en parlais peu. Il m'a écoutée, mais sans jamais assumer sa part de responsabilité dans
© BELGAIMAGE - HATIM KAGHAT Ils sont allemands, espagnols, néerlandais, portugais ou encore français, mais sont tous réunis sous la bannière jaune et bleu. Rencontre avec des supporters de l’Union qui n’étaient pas destinés à le devenir. C’est jour de match à Bruxelles. À Saint-Gilles, les écharpes jaune et bleu sont arborées avec fierté. L’Union ne s’est plus aussi bien portée sportivement depuis des lustres. En descendant vers Forest et le stade Marien, la foule grossit à mesure qu’on s’approche. Les gobelets de bière se vident et les conversations tournent forcément autour de l’équipe locale. En français majoritairement, mais aussi en néerlandais, en anglais et… en danois. Jakob et Kristoffer sont actuellement en stage à Bruxelles et ce dernier est pote avec Jonas Bager, défenseur danois de l’équipe de Felice Mazzù. Accompagnés de leurs potes Emile et Casper, en visite pour le week-end, ils s’apprêtent à redécouvrir l’ambiance du Parc Duden. © BELGAIMAGE – HATIM KAGHAT À l’image du noyau unioniste, mais aussi de la ville de Bruxelles, les tribunes saint-gilloises comptent de nombreuses nationalités différentes. À tel point qu’un fan club récemment créé est désormais dédié aux fans expats Be Union. Rencontre avec quelques-uns de leurs membres. Ana Notre groupe compte plus de dix nationalités différentes » Je suis portugaise, j’habite déjà depuis plus de dix ans à Bruxelles, je travaille à la Commission européenne. Au pays, je suis supportrice du FC Porto. C’est pour ça que des amis insistaient pour que je les accompagne à l’Union. Ils me disaient que je devais me trouver un club ici mais moi, l’Union en deuxième division, ça ne me disait trop rien a priori. Finalement, j’ai accepté et je suis allée voir le match contre le Standard en PO2 en 2017, au Heysel. En termes de foot, c’était assez horrible. Mais j’ai aimé le fait que malgré qu’ils n’aient pas gagné 2-2, tout le monde faisait la fête. Je trouvais ça étonnant. C’est très différent de Porto où il y a toujours beaucoup de pression. Là-bas, si tu as gagné mais que tu as mal joué, où que tu n’as gagné que de justesse, les supporters peuvent être mécontents et le manifester. Ici, c’est toujours la fête. Ana© BELGAIMAGE – HATIM KAGHAT Je suis abonnée depuis la saison 2019-2020 et désormais l’Union fait partie de mon programme social ». Il y a beaucoup d’avantages après les matches, on sort ensemble avec les potes, c’est près de chez moi, il n’y a pas de violence, il y a beaucoup d’enfants. J’aime aussi beaucoup la proximité entre les joueurs et les supporters. Après chaque match, ils viennent nous remercier. Avec d’autres expats comme Friedrich et Vlada voir plus loin, on s’est dit que ce serait cool de créer un fan club pour les étrangers, qu’il fallait quelque chose d’international. Et c’est comme ça que Be Union est né au début de cette saison. On compte une centaine de membres. On a beaucoup de soutien du club parce que je crois qu’ils ont compris qu’il y avait cette niche de supporters, qui ne parlent pas forcément français, qui ne sont pas forcément hyper intégrés dans la vie à Bruxelles et que c’est plus facile d’avoir un groupe pour eux. On a organisé notre propre bus pour la première fois pour le déplacement au Standard en avril. Avant, on les faisait avec les Bhoys. On a compté dix nationalités différentes. Et ça, pour moi, c’est à l’image de Bruxelles. D’ailleurs, je me sens toujours bienvenue en tant qu’étrangère. Bon, moi je parle le français, mais même pour ceux qui ne le parlent pas du tout, ça se passe très bien. La progression du club est phénoménale, mais j’ai aussi un peu peur que l’essence disparaisse. Cette saison, on voit qu’il y a beaucoup de gens qui viennent et qui ne comprennent pas ce qu’est l’Union ou même ce qu’est vraiment le foot. J’ai un peu peur que ça devienne la règle et plus l’exception, que l’essence populaire se perde. J’espère que non, mais c’est toujours un risque quand un club grandit et qu’il change de stade comme ça devrait être le cas bientôt. Il n’est pas impossible que l’Union affronte Porto en Coupe d’Europe la saison prochaine, mais je supporterai Porto. C’est le coeur qui parle! On ne peut pas changer ça. Je crois au titre, on a assez de qualités pour remporter les play-offs. Après le concept est un peu bizarre à mes yeux. Ma grand-mère m’a appelée récemment et elle me demandait Alors, vous êtes champions? » J’ai dû lui expliquer que non, pas encore. Mais bon, c’était encore pire en D1B j’ai quasiment mis toute la saison pour comprendre comment ça fonctionnait. » Friedrich On voit l’Union partout » Je suis allemand et j’habite à Bruxelles depuis 2015, j’y suis lobbyiste. J’ai toujours aimé le foot et je suis supporter de l’Eintracht Francfort. Je me souviens parfaitement de mon premier match de l’Union, même si j’ai oublié qui était l’adversaire. J’y suis allé avec un ami du travail qui supportait déjà le club depuis un petit temps et j’ai trouvé ça très cool donc je suis revenu. Ce qui rend l’Union très spéciale, c’est l’atmosphère qui s’en dégage. Depuis le début, les fans ont toujours été très cools, on se sent bienvenus, on boit des bières… Bien sûr, l’aspect sportif est important, mais c’est aussi très fun d’être là. Surtout dans notre stade c’est un peu comme un Fan Day dans le parc à chaque rencontre. Friedrich© BELGAIMAGE – HATIM KAGHAT Le premier match véritablement mémorable pour moi, c’est celui contre l’Antwerp en 2016. C’était décisif pour assurer le top 8 et se maintenir dans ce qui allait devenir la D1B. C’était un match dingue et je me souviens être resté très tard au Club House. Anthony Sadin, le gardien de l’époque, a débarqué avec des pizzas. C’était extraordinaire. Là, je viens d’avoir un enfant donc je vais un peu moins au stade pour le moment, mais habituellement j’assiste à tous les matches à domicile. Pour l’instant, on alterne avec ma femme une fois c’est elle qui va au match, la fois suivante, c’est moi. Ce que fait le club actuellement, je ne l’aurais jamais imaginé. Il y a quelques saisons, il y avait un joueur dont je ne me souviens plus du nom qui était allé faire un test à Energie Cottbus, qui était alors en D3 ou D4 allemande. Je trouvais que c’était déjà quelque chose. Puis, on a eu les Allemands Max Besuschkow et Marcel Mehlem et je me disais Pourquoi ils sont là? ». Mais maintenant, l’Union c’est autre chose. Si on joue contre une équipe allemande en Coupe d’Europe, ce sera très excitant. Toute ma vie, j’ai été supporter de Francfort si l’Union l’affrontait, ce serait fou. Je crois que je devrais m’acheter un maillot des deux équipes et en faire un moitié-moitié! Mais j’irais voir le match côté Union! J’ai même changé à Fifa, j’ai remplacé l’Eintracht par l’Union comme équipe favorite. Ce qui est cool, c’est que c’est toujours à peu près l’équipe de la saison passée, avec juste quelques ajustements. L’Union mise sur des joueurs qui ont un certain potentiel de développement cette philosophie sportive est bonne à mon sens. Bon, je ne m’attends pas à ce qu’ils jouent le titre chaque saison. Ce qu’ils ont fait cette année, c’est déjà extraordinaire, mais ils ont en tout cas le potentiel pour s’installer en D1A. Et les gens ne s’y trompent pas quand j’ai commencé à aller au stade, même certains qui vivaient à Bruxelles ne connaissaient pas l’Union. Maintenant, on voit l’Union partout. Tout à l’heure, je buvais une bière avec des amis dans le quartier européen et j’avais mon écharpe. Même là, les gens s’arrêtent et crient Allez l’Union » et se mettent à discuter. J’espère que ça va continuer comme ça. » Vlada On a tellement aimé le quartier qu’on y a acheté une maison! » Je suis originaire de Lettonie, mais j’ai grandi aux Pays-Bas. Je travaille au Parlement européen, en tant qu’assistante parlementaire. En fait, je viens d’une famille plutôt fan de moto. Chez moi on regarde du Moto GP, pas vraiment de football. Je suis arrivée à Bruxelles en 2015. Je commençais juste à fréquenter celui qui est désormais mon mari, Friedrich, et il m’a emmené à un match de l’Union. C’était au Heysel et le niveau de jeu n’était vraiment pas terrible. Malgré tout, c’était mon tout premier match dans un stade et j’ai directement accroché je suis allée à tous les matches par la suite. Les chants, la bière je n’avais jamais expérimenté un truc comme ça. Puis, on s’est fait de plus en plus d’amis et c’est devenu un truc qu’on fait tous ensemble. Je me suis toujours sentie acceptée en tant qu’étrangère. Je crois que pour nous, c’est aussi une façon de s’intégrer en tant qu’expats. Parce qu’il est aussi tout fait possible de rester uniquement au sein de la bulle européenne. Ici, c’est un moyen de rencontrer des personnes différentes, d’être partie prenante de la vie locale en suivant un club local et ne pas être déconnectée du reste de la ville. C’est important pour moi. D’autant plus maintenant que j’ai un fils. Je veux qu’il soit intégré ici, qu’il ait des amis d’ici. J’ai hâte de l’amener à son premier match mais bon, il va falloir encore patienter un peu, il n’a que quatre mois et demi! Vlada© BELGAIMAGE – HATIM KAGHAT L’histoire de mon premier match au Stade Marien est particulière. On y est allé à pied avec mon mari et on a tellement aimé le quartier qu’on y a acheté une maison! elle rit Quand j’étais enceinte, je suis allée à tous les matches jusqu’à ma 36e semaine de grossesse. Et toujours en tribune debout. C’est un peu fou, mais si on se met un peu sur le côté, c’est bon, c’est safe. À cette époque, j’ai également emmené ma mère au stade. Elle avait peur d’un peu s’ennuyer mais c’était contre Seraing, quand Kaoru Mitoma a inscrit un hat-trick en deuxième mi-temps. À la fin du match, elle hurlait comme une dingue elle a adoré! » Je viens de Séville, en Espagne. J’habite Bruxelles depuis 2015. Avant ça, j’ai vécu à Berlin et à Anvers, mais je me suis installé ici par amour, pour rejoindre ma femme que j’avais rencontrée à Louvain. J’aime Bruxelles, je suis d’ailleurs député au Parlement bruxellois Groen! Mon premier match à l’Union remonte à 2016, contre le Lierse au Heysel. L’ami qui devait m’accompagner ne pouvait plus venir donc j’y suis allé seul. C’est comme ça que j’ai rencontré Friedrich et bien d’autres. À l’Union, tu ne restes pas dans ton coin, tu te mélanges. S’y faire des potes est facile. J’ai vite compris qu’on n’était pas là juste pour le football, le résultat, les buteurs, mais aussi pour chanter, boire, rigoler. Juan© BELGAIMAGE – HATIM KAGHAT Une des choses que j’aime à l’Union et qui me rappelle le Betis dont je suis supporter, c’est que quand on encaisse, on chante encore plus fort. On dit Viva el Betis manque pierda » qui signifie Vive le Betis même quand il perd ». J’ai retrouvé ça ici et je pense que c’est assez unique en Belgique. J’aime également le fait qu’on n’insulte jamais l’adversaire et que ce soit une valeur qui perdure. Si certains s’y risquent, ils sont rapidement rappelés à l’ordre par les anciens. Dans le groupe Be Union, c’est très divers, il y a plein de nationalités. Mais ce n’est pas non plus juste des Eurocrates qui n’ont rien à voir avec la ville. Ce sont des gens qui ont choisi de s’installer à Bruxelles, qui organisent des choses avec d’autres fan clubs, qui ont des liens avec d’autres initiatives locales. Ce n’est pas juste un truc d’expats qui s’en fichent de la ville. Ils sont Bruxellois aussi même s’ils viennent d’Allemagne, du Portugal ou de je ne sais où. C’est comme ça que je le ressens aussi. Je suis espagnol, mais aussi bruxellois. Un de mes meilleurs souvenirs de l’Union remonte à 2018 et à un déplacement à Tubize pour éviter la relégation. Avec un petit groupe, on y est allés à vélo. Adrien Saussez a arrêté un penalty à la dernière minute, ce qui nous assurait du maintien. Au retour au Club House, tous les joueurs étaient là avec le coach et le président de l’époque, Jürgen Baatzsch. J’ai discuté avec lui et il m’a dit J’ai vendu le club à un Anglais. » Je pense qu’il était un peu bourré! J’avais un pote journaliste avec moi et je lui ai donc répété. Pendant une semaine, il a essayé de faire confirmer cette histoire, mais Baatzsch niait parce que ce n’était pas encore tout à fait réglé! C’est un tournant dans l’histoire du club même si je pense que le changement n’a pas été trop radical. La principale différence, c’est que maintenant on vise plus haut. Ça arrive même sans doute trop vite je ne pense pas que les dirigeants s’attendaient à ce que ça marche aussi bien. Moi, je crois au titre depuis qu’on a pris la tête du championnat à la onzième journée. Les gens me disaient que j’étais fou, mais je trouve qu’on doit être ouvert à être déçu. C’est la magie du football. Moi en tant qu’Espagnol, je pensais toujours que l’Espagne allait être championne. Longtemps ça n’a pas marché et puis finalement on l’a été trois fois de suite avec les deux EUROS et la Coupe du monde. C’est pareil pour l’Union. Si on est deuxièmes, troisièmes ou quatrièmes, on va pleurer un petit peu, mais si on est champions ce sera génial d’y avoir cru depuis le début. De toute façon, on aime l’Union même quand elle perd. Comme le Betis. » © BELGAIMAGE – HATIM KAGHAT L’Union fait vraiment partie de la vie de quartier » Jérémy n’est pas membre de Be Union. Mais comme un grand nombre de ses compatriotes français, il s’est installé à Saint-Gilles puis Forest. Et est rapidement tombé amoureux de l’Union. Je suis originaire de Saumur près d’Angers. Avec ma femme, on s’est installés à Bruxelles il y a douze ans. Avant ça, on a passé deux ans à Londres, mais je voulais vivre dans une ville moins grande, moins rapide. Une fois arrivé, il ne s’est passé que trois mois avant que je ne voie mon premier match à l’Union. Je bossais pour le Café des Spores, qui a un emplacement sur le marché de la Place Van Meenen de Saint-Gilles. Un de mes collègues était un vrai supporter de l’Union depuis des années donc quand on a commencé à parler ballon, il m’a dit qu’il fallait absolument que je vienne. C’était encore la D3 et il n’y avait pas grand-monde, mais je suis tombé sur un chouette groupe d’anciens. Comme je suis cuisinier, j’ai très vite proposé mes services pour faire des repas à l’Union, dans le Club House. Pendant deux ou trois ans, les jours de match à domicile, je proposais un menu entrée-plat-dessert à environ vingt euros pour entre vingt et quarante personnes par rencontre. Ce que j’apprécie, c’est le côté bon enfant de l’Union. Le côté antifasciste aussi qui ressort très fort chez les supporters. Et puis, je n’aime pas trop les grosses écuries. Je n’ai jamais été fan du Real, de Manchester City ou du Bayern. J’ai toujours supporté des petits clubs. En France, c’est Angers et Sochaux. Donc je me sentais bien dans mes bottes à l’Union, qui en plus est tout près de chez moi. En douze ans, j’ai déménagé plusieurs fois, mais toujours à Saint-Gilles ou Forest. Les jours de match, on a des potes qui viennent au stade à vélo. On en gare cinq ou six dans la maison et les gens viennent prendre l’apéro. L’Union fait vraiment partie de la vie de quartier. Quand tu vas à l’épicerie le lundi matin faire tes courses, tu parles de foot avec les commerçants ou les voisins. Toute la famille en est d’ailleurs mon fils aîné, Alexandre, huit ans et demi, est abonné et a fait tous les matches à domicile, sauf quand c’était un peu trop tard le soir. Le plus petit, Gabriel, bientôt cinq ans, a vu trois matches et ma femme est également venue deux fois cette saison. Le passage actuel vers plus de professionnalisme, je l’accueille avec plaisir. C’est le rêve de tout supporter de se dire que son petit club arrive à faire des performances comme ça. Je n’ai pas l’impression qu’ils soient en train de se trahir dans l’état d’esprit non plus. Ça avance petit à petit, mais il y a toujours ce côté un peu bancal, un peu désorganisé. Et puis, c’est la première fois que je supporte un club qui est en tête du championnat. J’ai vécu le match où on a failli descendre en D4 et là, on est en tête de la D1A, c’est une belle histoire! J’en comprends parfaitement la nécessité, mais le fait de déménager dans un nouveau stade va sans doute enlever un certain charme à l’Union. Je continuerai toutefois à y aller. Cela dit, je vais ouvrir un bistrot à deux pas du Stade Marien cet été, donc s’ils peuvent encore rester trois ou quatre ans, ce serait cool! Et je compte bien évidemment y diffuser tous les matches de l’Union, à domicile comme à l’extérieur! » Alimentation Anonyme64_1 mars 30, 2006, 12:22pm #1. cyrielle 20 mois ne bois que du lait, elle ne veut rien manger, j’ai entamé la diversification vers 5 mois ça ne c’est pas bien passer, elle ne sait pas manger de petits morceaux elle s’étouffe et moi j’angoisse dès que je lui donne 1 morceau 1 peu gros!!! mais même si elleTélécharger l'article Télécharger l'article Il est difficile de faire face à l'alcoolisme dans un mariage. Vous pouvez avoir l'impression d'avoir perdu votre conjoint et vouloir le récupérer, quand il est en colère et presque méconnaissable. On peut devenir alcoolique quand on a des problèmes à la maison ou au travail ou à l'école à cause de la consommation d'alcool, quand on boit dans des situations à risque par exemple en conduisant, quand on a été blessé ou lorsque l'on a blessé une personne en étant ivre, quand on a essayé d'arrêter de boire sans y arriver efficacement ou quand on trouve des excuses ou ment au sujet de son alcoolisme [1] . Certes, il peut être difficile d'être mariée à un alcoolique, mais il existe quelques mesures que vous pouvez prendre pour aider votre époux et l'encourager à suivre un traitement. 1 Signalez tout abus. Parfois, les alcooliques peuvent devenir agressifs, car l'alcool est souvent associé à la violence [2] . Si votre conjoint vous frappe, vous menace ou vous fait du mal de quelque façon que ce soit, trouvez un refuge et dénoncez-le. Ne le protégez pas en gardant cela secret. Dites-le à votre mère ou à votre père, à votre sœur, à votre voisin, à votre meilleure amie ou à un guide spirituel. Accordez toujours la priorité à votre sécurité. Vous pouvez vous faire aider en appelant un service d'assistance téléphonique en cas de violence conjugale. France appelez SOS femme violence conjugale au 39 - 19. Belgique appelez le Centre de prévention des violences conjugales et familiales au numéro 02 539 27 44. Canada appelez SOS violence conjugale au 1 800 363-9010. Autres pays visitez cette page pour trouver une liste mondiale de lignes d'assistance téléphonique et de centres de secours d'urgence. 2 Approchez-le d'une manière non menaçante. Gardez une intonation de voix normale et parlez-lui sans utiliser des propos sévères ou désobligeants [3] . Par exemple, évitez de le traiter d' ivrogne » ou d'alcoolique sur le moment. Évitez de vous quereller et parlez plutôt d'une manière calme et affirmative. Si votre conjoint commence à se mettre en colère ou à vouloir se battre, dites-lui calmement que ce n'est pas le bon moment et que vous pourrez en reparler plus tard. Évitez à tout prix de vous quereller. Il pourrait vous attaquer physiquement. Ne répondez pas en étant en colère, même si c'est difficile à faire. 3 Offrez-lui des boissons sans alcool et de la nourriture. Plutôt que de le dissuader de consommer de l'alcool, donnez-lui de la nourriture et des boissons sans alcool [4] . Encouragez-le à manger ou à s'hydrater avec de l'eau. Distrayez-le avec cela pour qu'il soit moins tenté de boire de l'alcool. S'il vous demande de le servir de l'alcool, offrez-lui plutôt un soda. 4 Trouvez un compromis. S'il insiste pour avoir un verre ou pour aller quelque part, essayez de parvenir à un compromis [5] . Cela ne vaut pas la peine de vous quereller avec lui, car il n'aura pas les idées claires et vous ne voulez surtout pas aggraver la situation. Trouvez un moyen de le rendre heureux sans pour autant être malheureuse. S'il a vraiment envie de prendre de la crème glacée, mais que vous n'en avez pas, donnez-lui des bonbons ou une autre friandise. Si vous voulez sortir sous une pluie battante, dites-lui fermement qu'il pleut et qu'il peut prendre un parapluie ou rester sous une tente. 5 Fixez des limites. Si son alcoolisme vous affecte d'une façon négative, fixez des limites [6] . Dites-lui clairement que vous ne discuterez pas avec lui de la relation quand il est ivre et que vous refuserez d'essayer de résoudre quoi que ce soit s'il est sous l'influence de l'alcool. Interdisez-lui de boire à la maison ou en présence des enfants. Vous pouvez décider de ne pas rester avec lui quand il boit ou refuser de lui parler quand il est ivre. Établissez des limites en tenant compte de vos besoins personnels. Une fois que vous aurez établi des limites, faites-le savoir à votre époux et soyez sure qu'il les a bien compris. 6 Ayez un plan de secours. Si votre mari est ivre et se comporte agressivement au point que vous craignez pour votre sécurité, ayez un plan d'évasion. Envisagez d'appeler quelqu'un tard le soir qui peut vous offrir un lieu sûr où rester. Si vous avez peur de partir avec la voiture, vous pouvez vous arranger pour qu'une amie ou un parent vienne vous chercher. Dites à votre mari calmement que vous allez trouver un endroit sûr pour passer la nuit et que vous reviendrez le lendemain. S'il se met en colère, dites-lui que vous pouvez discuter avec lui plus tard. De cette façon, vous donnez la priorité à votre sécurité. 1 Acceptez tout sentiment de gêne. Il est fort probable que vous vous sentiez mal à l'aise d'avoir cette discussion délicate avec votre mari. Toutefois, vous ne devriez pas laisser cette gêne vous empêcher de vous exprimer. Gardez à l'esprit que la situation que vous vivez actuellement vous met mal à l'aise [7] . Acceptez le fait que, quoi qu'il arrive, discuter de ce problème vous mettra mal à l'aise. Soyez forte et faites le pas. 2 Choisissez le bon moment pour avoir cette conversation. Il est important que vous ne démarriez pas cette discussion lorsque votre partenaire est sous l'emprise de l'alcool ou est sur le point de boire. En lieu et place, choisissez un moment où vous êtes tous deux sobres [8] . Prenez un moment pour discuter du problème pour ne pas avoir à précipiter les choses après. N'essayez pas d'aborder la question lorsque vous êtes en colère ou lorsque vous êtes bouleversée. Si vous vous sentez frustrée lorsque votre mari ouvre une canette de bière, ce n'est pas le moment idéal d'avoir cette conversation. Attendez d'être tous les deux dans un état calme et neutre avant d'entamer la discussion. Peut-être que vous devez planifier du temps pour discuter du problème. 3Parlez-lui avec compassion, ne le jugez pas. Même si vous pouvez facilement porter un jugement, vous mettre en colère et être déçue, soyez compatissante. Vous ne réprimandez pas votre mari, vous lui demandez de se faire aider, pour son propre bien et pour le mieux-être de la famille [9] . Dites à votre mari que vous l'aimez, le soutiendrez et vous souciez de lui. 4 Dites-lui à quel point son problème vous affecte. Vous pourriez avoir l'impression d'être un second choix lorsqu'il se tourne vers l'alcool avant vous. Vous pouvez même avoir l'impression de ne pas pouvoir rivaliser avec cette relation que votre conjoint entretient avec l'alcool [10] . Bien qu'il puisse subvenir aux besoins financiers de votre famille, si vous avez l'impression qu'il ne vous soutient pas ou la famille suffisamment sur le plan affectif, dites-le-lui. Si vous avez du mal à vous sentir émotionnellement connectée, dites-le-lui aussi. Soyez honnête lorsque vous lui exprimez vos sentiments et votre déception. Dites-lui à quel point son comportement ne vous affecte pas seulement vous, mais aussi d'autres personnes, comme vos enfants, vos amis ou votre famille [11] . 5 Évitez de le blâmer. Exprimez vos sentiments au lieu de blâmer votre époux pour ses problèmes d'alcool [12] . Concentrez-vous sur vous et sur vos sentiments, pas sur lui. Au lieu de dire quelque chose comme, quand tu bois, tu es si distant », dites ceci ça me fait mal de me sentir si loin de toi, et ce lien que nous avions me manque. » Au lieu de dire quelque chose comme tu ne passes pas de temps avec les enfants », dites ceci j'ai du mal à donner aux enfants toute l'attention dont ils ont besoin et j'aimerais que tu m'aides. » 6 Demandez-lui de se faire soigner. Dites à votre mari que vous l'aimez, le soutenez et que vous souhaitez simplement qu'il soit en bonne santé et heureux. Demandez-lui de chercher un traitement pour son alcoolisme [13] . Vous pouvez lui dire qu'il est difficile de traiter l'alcoolisme sans aide et que s'il reçoit un traitement, cela vous aidera tous les deux à faire face au problème. Le traitement de l'alcoolisme permet également de faire face aux problèmes psychologiques et aux comportements de dépendance qui nuisent à une vie heureuse et épanouie. Vous devrez peut-être faire quelques recherches avant de discuter des options de traitement disponibles. Appelez votre assurance pour avoir une idée des programmes de traitement disponibles. Renseignez-vous sur les séances de thérapie individuelle ou familiale, les programmes thérapeutiques pour patients hospitalisés et externes afin de pouvoir discuter de toutes les options de traitement avec votre mari. Il est possible d'organiser une intervention psychosociale avec des amis, des membres de la famille et d'autres personnes qui se soucient de son bienêtre. Vous pouvez demander le soutien d'un spécialiste, si nécessaire. Cependant, soyez prudente, car les interventions psychosociales peuvent mettre votre mari en colère ou sur la défensive [14] . 7 Évitez de créer un plan d'action immédiatement. Votre conjoint pourrait vous dire qu'il arrêtera de boire, que ses actions néfastes ne se reproduiront plus jamais et qu'il veut changer. Tout cela pourrait être vrai, mais il se peut qu'il cherche un moyen d'éviter une conversation gênante. Créez un plan après avoir eu le temps d'assimiler tout ce qui a été dit au cours de la conversation et de réfléchir [15] . Après votre discussion initiale, planifiez un moment où vous pourrez en parler davantage, lorsque vous aurez eu le temps de réfléchir à la première conversation. Vous pouvez vous rencontrer pour discuter des mesures que vous adopterez ensemble, comme vous débarrasser des bouteilles d'alcool. 1Ne vous attendez pas à ce qu'il change du jour au lendemain. Si vous êtes contrariée après la discussion avec votre mari et n'avez pas trouvé de solution, soyez forte. Considérez vos propos, vos actions ainsi que votre soutien comme une étape importante pour faire comprendre à votre mari son problème de dépendance et l'inciter à se faire soigner [16] . Cependant, souvenez-vous que vous ne pouvez pas contrôler ses actions et que, au bout du compte, il est responsable de ses décisions. 2 Opposez-vous à son déni. Il est fréquent que les alcooliques surtout les grands consommateurs de boissons alcoolisées trouvent toujours de bonnes excuses pour leur comportement et prétendent qu'ils n'ont pas de problèmes d'alcool. Au lieu d'essayer de combattre le déni de façon rationnelle, approchez votre mari en entamant avec compassion un dialogue sur vos préoccupations [17] . S'il nie avoir un problème, dites-lui gentiment comment cette situation perturbe votre sommeil ou celui des enfants, qu'il est agressif ou méchant avec vous ou à quel point son alcoolisme vous affecte. 3Faites-lui savoir que son alcoolisme crée une distance entre vous. Si votre conjoint continue à boire même en sachant que cela vous fait souffrir, dites-lui que ses problèmes de dépendance à l'alcool interfèrent avec votre relation. Son penchant pour l'alcool affecte votre capacité à avoir une relation saine avec lui. Si vous dites de façon claire à votre époux que son alcoolisme crée de la distance dans votre relation, cela peut avoir un impact sur lui et sur vous [18] . 4 Ayez votre propre réseau de soutien. Vous devez prendre soin de vous. Il y a des gens à qui vous pouvez parler de cette situation et qui vous soutiennent. Ne gardez pas le problème de votre mari secret vous devez avoir au moins une personne à qui vous pouvez parler de vos difficultés. Il est important que vous ayez un soutien émotionnel lorsque vous faites face aux difficultés de la vie [19] . Parlez-en à vos parents, à vos frères et sœurs, à vos beaux-parents ou à vos amis. Ne vous concentrez pas uniquement sur son problème d'alcoolisme assurez-vous également de vous confier à des gens en qui vous avez confiance. 5 Déterminez si le mariage est dans votre intérêt. Si votre mari refuse de recevoir de l'aide et que vous avez de nombreux doutes quant au fait que les choses vont s'améliorer, vous devrez peut-être réfléchir à votre mariage pour savoir si sauver votre couple est ce qu'il y a de mieux pour vous. Si vous avez l'impression que son alcoolisme est plus important que la relation elle-même, il sera temps d'examiner vos options. Lorsque vous prendrez cette décision, vous devrez peut-être tenir compte de votre qualité de vie, de votre sécurité et celle de vos enfants. Posez-vous cette question quelle est ma meilleure option dans laquelle je me respecte et respecte ma famille ? » S'il est violent avec vous, faites passer votre sécurité avant toute chose. Vous méritez d'être traitée avec respect en tout temps et les alcooliques mettent rarement fin aux abus, car la violence peut devenir cyclique. 1 Évitez de boire en sa présence. Si vous buvez près de votre mari, il aura encore plus du mal à s'en sortir [20] . Évitez à tout prix de consommer de l'alcool en présence de votre conjoint. Assistez plutôt à des évènements sociaux où les boissons alcoolisées ne seront pas servies. Lorsque vous invitez des membres de votre famille ou des amis à des réceptions, dites-leur de rester sobres. Vous pourriez devoir changer un peu vos plans sociaux ou votre cercle social. Au lieu d'aller dans un bar ou de siroter du vin avec des amis, organisez plus de soirées jeux ou cinéma. Participez à des activités n'impliquant pas la consommation d'alcool. 2Demandez-lui de se renseigner sur les groupes de soutien locaux. Il existe des groupes comme Alcooliques anonymes qui aident les personnes qui souffrent d'alcoolisme. De plus, les membres importants sont toujours prêts à aider les nouveaux en leur apportant soutien et conseils. Si vous vivez en France, consultez cette page pour savoir si une réunion des Alcooliques anonymes se tient près de chez vous. 3 Rejoignez vous-même un groupe de soutien familial. Vous savez mieux que quiconque à quel point il est difficile de vivre avec un mari alcoolique. Ne préserver toute seule une famille unie avec quasiment aucune aide de votre mari peut être dur à vivre. Partager votre frustration avec d'autres personnes qui ont vécu la même situation que vous peut être un soulagement. Elles peuvent également vous soutenir et vous conseiller sur la façon d'y faire face et sur la façon dont elles ont surmonté cette période difficile. Il existe quelques groupes d'entraide qui apporte un soutien aux familles dont un membre est alcoolique. Faites une petite recherche sur Internet. 4 Envisagez une thérapie ensemble. Si votre conjoint hésite à suivre une thérapie individuelle, dites-lui que le fait de suivre une thérapie de couple serait utile pour vous deux ou que vous voulez suivre une thérapie familiale. Un thérapeute pourrait aider à faciliter la phase de récupération de votre époux et vous fournir à vous deux un soutien tout au long du processus. Vous pouvez vous faire orienter vers un psychologue par l'entremise de votre médecin traitant ou de votre assureur [21] . Vous devrez peut-être trouver un thérapeute spécialisé dans les dépendances ou l'alcoolisme. La thérapie pourrait inclure le traitement des causes sous-jacentes de la dépendance, l'apprentissage de méthodes efficace pour la gestion du stress, ainsi que les traitements médicamenteux. 5 Demandez-lui de consulter un centre de traitement. Aller dans un centre de traitement est une excellente idée pour un alcoolique avéré ou lorsque l'alcoolisme est accompagné d'un diagnostic psychiatrique comme la dépression ou l'anxiété ou d'un diagnostic médical. Il existe des programmes de traitement hospitalier et ambulatoire qui peuvent dépendre de votre couverture d'assurance [22] . Choisissez le niveau de soins qui convient le plus à votre famille et à votre conjoint. Si votre mari a subi un stress ou un traumatisme grave ou s'il souffre d'un trouble psychiatrique, un centre de traitement peut être plus approprié qu'une thérapie hebdomadaire en consultation externe. 6 Sachez qu'il peut avoir une rechute. Adoptez un plan pour faire face à toute rechute potentielle [23] . Il est fréquent que les personnes luttant contre l'alcoolisme soient enclines aux rechutes pendant le rétablissement. Mettez-vous d'accord sur un plan avec votre mari ou avec son équipe de soins pour faire face aux rechutes. Par exemple, vous pourriez l'éloigner de la situation ou appeler son thérapeute ou son mentor. 7 Soutenez votre mari. Si votre conjoint commence un traitement et fait des progrès, n'ignorez pas chaque étape franchie [24] . Si vous remarquez qu'il fait un effort, félicitez-le. Identifiez tout ce qu'il fait de positif et assurez-vous qu'il sache que vous reconnaissez ses progrès. Célébrez même les plus petits progrès. Soutenez votre mari et faites-lui savoir que vous serez avec lui tout au long du processus. À propos de ce wikiHow Cette page a été consultée 33 044 fois. Cet article vous a-t-il été utile ?
Concrètement mon mari m'a dit qu'il n'arrivait plus à supporter ma déprime, mon caractère changeant et mon agressivité. Il m'a dit que cela faisait plusieurs années qu'il était Manque de respect dans le couple Tout comprendre pour mieux le combattre Nombreux sont les couples qu traversent des crises car l’un des deux partenaires a eu un mauvais comportement vis-à-vis de l’autre. Que ce soit par des paroles déplacées, des actes mal intentionnés, ou une souffrance psychologique infligée, votre couple peut se retrouver fragiliser quand les conflits sont répétitifs et que votre partenaire ne change pas d’attitude. Cette situation n’est pas supportable et faut donc agir au plus vite pour retrouver harmonie et sérénité. Découvrez dans cet article comment combattre le manque de respect dans le couple et les raisons qui peuvent conduire votre moitié à vous traiter de cette manière. Ainsi, vous allez être capable de retrouver le bonheur et une quiétude dans votre vie à deux. Pourquoi vous manque-t-il/elle de respect ? Le manque de respect dans le couple nait très souvent d’une volonté qui est néfaste pour le couple puisqu’elle consiste à obtenir le contrôle total sur le partenaire. En effet, en rabaissant constamment la personne qui partage son quotidien, il va naître automatiquement un sentiment de supériorité. Il y a donc l’exercice d’une pression psychologique qui peut nuire à la confiance personnelle du partenaire. Il s’agit d’un moyen pour certains de se sentir comme la personne la plus importante dans le couple. Le fait que votre homme ou votre femme ne vous respecte pas comme il se doit est aussi pour lui/elle un moyen de plus facilement imposer ses idées. En effet, il/elle ne se sentira pas obliger de communiquer avec vous et si malheureusement vous êtes trop fragile » pour réagir il/elle arrivera à ses fins. Cela peut être dur à avaler mais vous pouvez avoir aussi une légère part de responsabilité dans la situation que vous traversez aujourd’hui. En aucun cas je dis que vous méritez de vivre ce que votre moitié vous inflige quotidiennement. Mais vous devez vous poser les bonnes questions sur l’apparition de son comportement envers vous. Avez-vous su poser des limites au manque de respect dans le couple ? Avez-vous réagi dès les premiers dérapages ? A quel moment est apparu le phénomène ? Il s’agit d’autant de questions qui ont une importance capitale car pour résoudre le problème il faut en saisir l’origine. Je ne cesserais jamais de dire qu’il faut se montrer ferme lorsqu’il y a un écart de son partenaire tout comme avec une autre personne. Le manque de respect dans le couple en fait partie et dès les premières disputes vous devez toujours vous faire respecter et ne jamais le/la laisser vous rabaisser, proférer des menaces ou des insultes car la conséquence est souvent terrible puisque cela mettra à mal votre confiance en vous. Pour ne rien arranger, c’est souvent durant cette période que la dépendance affective apparait au grand jour ! Si vous vous refusez à tenir tête à votre conjoint, quand il/elle vous parle de manière inacceptable, par peur de le/la perdre c’est que vous devez travailler sur un point crucial qui va au-delà du couple votre assurance. Malgré les sentiments que vous pouvez avoir pour lui/elle, se laisser marcher dessus n’est pas tolérable et il faut ne pas perdre de temps pour faire face à cette situation. Au travers de mes coaching, je suis automatiquement confronté à des personnes qui traversent ce type de situation et j’ai pu me rendre compte à quel point elle pouvait être difficile à supporter notamment, quand vous envisagez un avenir ensemble et que vos sentiments sont plus forts que tout. Voilà pourquoi je veux vous aider à prendre les devants pour que vous retrouviez le bonheur et le respect que vous méritez tant ! La première étape consiste à ne plus se voiler la face et à affronter la situation avec cran et détermination. Nombreuses sont les personnes qui ne jugent pas utile de changer ce comportement et pensent que le temps permettra à leur partenaire d’évoluer et de cesser d’agir ainsi. Mais si vous laissez le manque de respect dans le couple, perdurer sans réagir il vous sera bien plus compliqué de lui/la faire comprendre que ses mots et son comportement vous affectent et mettent votre couple en péril. Comment ne plus subir ces critiques permanentes et affronter votre partenaire? Commencer par poser des limites ! Ne vous laissez plus atteindre sans répondre. Pour faire comprendre à sa moitié qu’il/elle doit changer il faut des actions fortes qui le/la forceront à réfléchir sur sa conduite. Pour cela, il est évident que le fait de mettre de la distance dans votre relation permettra à l’autre de réagir et de comprendre que les limites sont dépassées. D’un point de vue plus personnel c’est la confiance en soi qu’il est nécessaire de travailler. Chaque matin répétez des phrases d’auto-motivation, faites du sport pour évacuer votre colère et atteindre des objectifs qui vous permettront de croire en vous et en vos capacités de réaction. Amicalement, Votre coach pour combattre le manque de respect dans le couple Alexandre CORMONT Ecrit par Love Coach, auteur et conférencier dans les domaines de la séduction, de la vie de couple et de la reconquête. Depuis 2007, ce sont des milliers d'hommes et de femmes qui ont fait appel à ses services. Vidéos liées L'astuce incroyable pour prendre confiance en soi !L'exercice obligatoire pour développer sa confiance en soi !Comment refaire confiance en l’amour après un pervers narcissique ?Comment se remettre d’une déception amoureuse ?Comment captiver une personne avec l'Intelligence Émotionnelle ?4 juillet 2021 à 18h Les clés de la confiance en soi ! Conférence vidéo gratuite Ilprend plus soin de lui : Il n’y a pas de mal à ce que votre homme prenne soin de lui et accorde plus d’attention à son apparence. Mais quand votre partenaire n’a pas l’habitude+5ShalanNinaMinettepaulamagaligarret9 participantsAuteurMessagemagaligarretNouveauNombre de messages 2Localisation MarseilleDate d'inscription 23/06/2005Sujet nouvelle inscrite! Jeu 23 Juin à 846 Bonjour à toutes!Je m'appelle Magali, et je suis une toute nouvelle inscrite sur le forum. Je viens de Marseille et je suis enceinte de 6 mois. Mon petit bébé est prévu pour le mois de septembre...l'attente est longue!! Je ne connais pas le sexe de mon bébé, çà sera la surprise le jour J!Je vous souhaite a toutes une bonne grossesse avec une suite des plus merveilleuses!A très vite, PititrucInvité paulaPoulette experteNombre de messages 1182Date d'inscription 24/01/2005Sujet Re nouvelle inscrite! Jeu 23 Juin à 904 MinettePoulette experteNombre de messages 919Date d'inscription 24/01/2005Sujet Re nouvelle inscrite! Jeu 23 Juin à 1030 coucou Magali Bienvenue sur le forum Félicitations un ptit pressentiment sur le sexe de ton petit ? Ninachef de bassecourNombre de messages 1930Localisation BDRDate d'inscription 23/01/2005Sujet Re nouvelle inscrite! Jeu 23 Juin à 1051 Magaliet bienvenue y'a aussi un bb pour septembre, c'est Sansan et sa ShalanPoulette experteNombre de messages 1183Localisation RennesDate d'inscription 24/01/2005Sujet Re nouvelle inscrite! Ven 24 Juin à 1149 Magalie,Bienvenue parmis nous ! liliRang AdministrateurNombre de messages 4259Age 44Localisation NordDate d'inscription 23/01/2005 Eve de messages 682Age 44Localisation Anjou Québec CanadaDate d'inscription 03/03/2005Sujet Re nouvelle inscrite! Lun 27 Juin à 147 Bienvenue Magalie !! Tu t'appelles comme la fille de mon mari !!! Elle a 3 ans ! mamanwinnieBavardNombre de messages 86Date d'inscription 01/02/2005Sujet Re nouvelle inscrite! Lun 27 Juin à 721 bienvenue ! LadouceModérateurNombre de messages 3223Age 42Localisation MarseilleDate d'inscription 24/01/2005 LadouceModérateurNombre de messages 3223Age 42Localisation MarseilleDate d'inscription 24/01/2005Sujet Re nouvelle inscrite! Jeu 30 Juin à 831 Ben alors Magali, t'es déjà reparti ??? Contenu sponsorisé nouvelle inscrite!
JacquesDutronc ne boit plus d'alcool: "C'est un handicap, une épreuve terrible". Jacques Dutronc - Soirée de la 9ème édition du "Etam Live Show" (Etam Lingerie) lors de la fashion week à Depositphotos Si vous buvez souvent de l’alcool, vous devriez lire cet article J’aurais aimé apprendre les informations suivantes il y a plusieurs années, ou du moins devenir plus conscient. Beaucoup de gens ignorent à quel point l’alcool peut être nocif pour notre santé. J’ai été choqué d’apprendre qu’il était considéré comme cancérigène et très surpris de découvrir que la consommation régulière inhibait la capacité naturelle du corps à produire des vitamines essentielles. Considérer l’alcool comme un anti-dépresseur, cette information montre clairement à quel point il peut avoir un impact négatif à la fois sur le mental et la santé physique, conduisant souvent à un cercle vicieux de l’auto-médication. Jetons un coup d’ oeil à certains des effets négatifs à long terme de l’alcool sur le corps. L’alcool est un cancérogène connu De nombreuses études mettent en corrélation la consommation d’alcool et le développement du cancer, reliant à la consommation régulière d’alcool pour les types de cancers suivants cancer du cerveau et de la gorge, cancer de l’œsophage, cancer du foie, cancer du sein, cancer colorectal, et plus encore. Sur la base des examens approfondis des études de recherche, il existe un fort consensus scientifique d’une association entre la consommation d’alcool et de plusieurs types de cancer. » National Cancer Institute Diminution de la production de vitamine B12. Des études ont montré que la consommation d’ alcool compromet vos niveaux de vitamine B12; si vous êtes déjà ou devenez déficient en cette vitamine essentielle, votre santé peut en souffrir grandement. Des études ont également conclu qu’une consommation régulière ou même modérée d’alcool peut avoir un impact sur vos niveaux de vitamines B12. L’alcool diminue l’absorption de la vitamine D et du calcium Il interfère avec le pancréas et sa capacité à absorber le calcium et la vitamine D et affecte également le foie, ce qui est important pour l’ activation de la vitamine D, qui est nécessaire pour l’ absorption du calcium. Cela peut conduire à des difficultés avec la régénération osseuse. Les Dommages du foie Cirrhose La cirrhose est une maladie résultant d’une atteinte hépatique permanente ou du développement de cicatrices dans le foie, et si un certain nombre de choses peuvent la provoquer , une cause commune est l’abus d’alcool . La cirrhose du foie peut être très grave, voire mortelle, et souvent le seul moyen de l’inverser est la chirurgie. Dépresseur L’alcool est un bon anti-dépresseur, malheureusement, dès que les effets sont envolés il y a un rebond des symptômes d’angoisse et de dépression, donc pour palier au retour de ces symptômes on boit de nouveau, de plus en plus et les rebonds se représentent ainsi de plus en plus et de plus en plus forts, l’alcool est un anti-dépresseur qui abaisse les niveaux de sérotonine dans le cerveau. Beaucoup de gens se tournent vers l’alcool pour soulager la dépression, mais beaucoup la développent à cause de l’alcool, c’est pourquoi cela peut devenir un cycle très vicieux pour certaines personnes. Perte de mémoire La consommation d’alcool ralentit les processus dans le cerveau, ce qui entraîne souvent une perte de mémoire. La consommation excessive d’alcool, d’ailleurs, peut entraîner des complets black-out », vous amenant à oublier où vous étiez, ce que vous avez fait, et même ce que l’on vous a fait. Au fil du temps, cela peut rendre difficile de se souvenir des événements qui se produisent alors même que l’on est sobre. Qu’est-ce qui arrive au corps tout de suite et surtout le jour suivant? Boire irrite l’estomac et les intestins , ce qui provoque une inflammation des muqueuses de l’estomac. Vous devenez déshydraté, la consommation de 50 g d’alcool dans 250 millilitres ml d’eau soit environ 4 boissons provoque l’élimination de 600 à 1000 ml ou jusqu’à 1 pinte d’eau pendant plusieurs heures. L’ alcool inhibe la production de glutamate , le glutamate est un stimulant dont le travail consiste à nous tenir éveillés. Cependant, lorsque notre taux d’alcool sanguin atteint zéro c. -à- temps de la gueule de bois, notre corps réagit en surproduisant ce stimulant, qui se traduit par un mauvais sommeil. Selon cette recherche, une explication possible de la gueule de bois induite par l’ alcool est que l’ alcool a des effets sur les neurotransmetteurs, l’histamine, la sérotonine et la prostaglandine. Comment savoir lorsque c’est trop? Depositphotos Selon le Centre canadien de toxicomanie et de santé mentale, les femmes ne devraient pas boire plus de 10 verres par semaine et pas plus de 2 verres par jour. Les hommes ne devraient pas boire plus de 10 verres par semaine, et pas plus de 2 verres dans une seule journée. Et vous n’êtes pas censé boire tous les jours de la semaine . Je ne sais pas pour vous, mais un jour où je sors et que j’ai l’ intention de boire , il est très rare que je consomme que 2 boissons. Quelques réflexions personnelles sur la question Apprendre les réelles conséquences néfastes de l’alcool sur la santé a fait résonner en moi les raisons de sa forte présence dans les médias.. Il est rare de voir une émission de télévision ou un film où les personnages ne consomment pas régulièrement de grandes quantités d’alcool, et ces deux personnages ou ceux dans les publicités d’alcool sont dépeints, à des degrés divers, aussi sexy, cool, spontanés, et amusants. En fait la promotion de l’ alcool dans le mercantilisme grand public a rapporté avoir dépensé 8 milliards sur la publicité entre 2002-2009. Même si la connaissance des dangers de l’ alcool est loin d’être aussi commune que le tabac, pourquoi n’en parle t-on pas plus? On dit que le sucre est le tabac du 21 e siècle, mais il semble que la vérité sur les dangers de l’ alcool soient largement ignorés. Même de nombreux blogs de santé alternatifs populaires ne semblent pas accorder trop d’ attention à l’idée. Est – ce parce que beaucoup de gens aiment l’ alcool et la façon dont il les fait se sentir et préfèrent fermer les yeux? Ou y a – il un intérêt à garder ces informations au calme? Sans être totalement négatif, tout cela me fait penser à George Orwell 1984 et comment les personnages privés de l’histoire ont tout simplement pris l’ alcool comme un moyen de les garder heureux et d’échapper à leur existence misérable. S’il vous plaît ne vous méprenez pas – j’aime autant l’alcool que les autres, voire plus, car cela peut être un excellent moyen de se lâcher, d’avoir du plaisir, ou même tout simplement se détendre, mais cette information m’a vraiment fait réfléchir dernièrement. Surtout après ne pas avoir bu du tout en Février, j’ai réalisé à quel point je me sentais mieux de jour en jour et ce que je pouvais accomplir, je pense que c’est quelque chose dont nous pourrions tous bénéficier. Qu’en pensez-vous? Si vous êtes quelqu’un qui aime un verre occasionnel de vin ou une bière, vous pouvez très bien ne pas comprendre cet article. Il est probable que si vous vivez un style de vie en bonne santé, ces effets négatifs n’auront pas beaucoup d’impact sur vous. Mais si vous êtes quelqu’un qui boit régulièrement, ou qui utilise l’alcool comme une évasion, cette information est vraiment utile. Pourquoi ne pas faire une pause avec l’alcool et voir si votre humeur s’améliore? Si vous trouvez que vous utilisez l’alcool comme un moyen de faire face au stress, envisagez une alternative, comme la course ou la marche, passez quelques minutes dans le sauna, ou même méditez. Essayez de faire quelque chose de positif pour réduire votre stress plutôt que de fuir avec de l’alcool. Quelques avantages à faire une coupure ou arrêter l’alcool Pixabay Meilleure humeurPlus d’économiesMoins ou pas la gueule de boisPlus de temps pour faire avancer les chosesNe pas avoir de regrets de quelque chose de stupide que vous avez peut-être faitUne meilleure mémoireUn mode de vie sain Si vous êtes à la recherche de sources pour vous aider à faire une coupure, contrôler, ou même arrêter votre consommation d’alcool, il y en a un certain nombre à votre disposition. S’il vous plaît allez voir les liens affichés ci-dessous. // / / / Avez-vous abandonné l’alcool, ou fait un effort conscient pour réduire? Quelle a été votre expérience? S’il vous plaît partagez dans la section des commentaires ci-dessous! / Source| Лоշазυчуռ ла | ሜዧգ шዶλ бруվխζо |
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| Щαኯиռе ωнт иቴ | Οለуተа իк клоπυр |
| ጫυጸ ρалатанըյ γоձፖηևքιφе | Веየοнтιмቢ еጾата |
| Ու լθքутеչо | Еношուгиմ սечу |
| Еηивዲ օሽитрушε китвቭм | М ሊሤ |
| Норазуч убαстящ | Α чеማоւխπус ц |
Etje ne sais pas quoi faire non plus parce que je ne voudrais pas que ça se retourne contre moi. J’ai 3 chiens, qui sont souvent dehors. Ils aboient quand quelqu’un passe devant mon portail, puis se taisent, rien de dérangeant. Mais j’ai peur que mon voisin se plaigne aussi, comme je me plains du sien.