Regarderen streaming sur votre mobile iOS et Android Film Last Night in Soho (2021) complet en version française a voir online en HD Streaming Last Night in Soho en entier films sans

Aucune sĂ©ance actuellement programmĂ©e DurĂ©e 1h57 RĂ©alisateur Edgar Wright Avec Thomasin McKenzie, Anya Taylor-Joy, Matt Smith, Rita Tushingham, Michael Ajao RĂ©sumĂ© L’histoire d’une jeune femme passionnĂ©e de mode et de design qui parvient mystĂ©rieusement Ă  retourner dans les annĂ©es 60 oĂč elle rencontre son idole, une Ă©blouissante jeune star montante. Mais le Londres des annĂ©es 60 n’est pas ce qu’il parait, et le temps semble se dĂ©sagrĂ©ger entrainant de sombres rĂ©percussions. Partager ce film avec vos amis Bande-annonce À voir en ce moment Newsletter Recevez rĂ©guliĂšrement toute l’info sur votre cinĂ©ma Programmes Ă  tĂ©lĂ©charger TĂ©lĂ©chargez nos diffĂ©rentes programmations. LastNight in Soho, un film de Edgar Wright | Synopsis : Une jeune fille, passionnĂ©e par la mode, parvient mystĂ©rieusement Ă  voyager dans les annĂ©es 1960 oĂč elle rencontre son idole, une Ă©blouissante chanteuse en devenir. Mais le Londres des annĂ©es 1960 n'est pas ce qu'il paraĂźt, et le temps semble se dĂ©sagrĂ©ger avec d'obscures consĂ©quences avec Thomasin
Avec Last Night in Soho, Edgar Wright retrouve un de ses thĂšmes de prĂ©dilection, l’horreur, mais laisse de cĂŽtĂ© la comĂ©die pour mettre en scĂšne une histoire dĂ©sarmante de sĂ©rieux. Peut-ĂȘtre parce que le sujet le touche personnellement Ă  plus d’un titre. Last Night in Soho sort en salles ce 27 octobre. Thomasin McKenzie et Anya Taylor-Joy PassionnĂ© de cinĂ©ma, l’auteur-rĂ©alisateur britannique Edgar Wright a commencĂ© sa carriĂšre Ă  la fin des annĂ©es 80 avec des courts-mĂ©trages, principalement des parodies de films cultes tournĂ©es en Super 8. À 21 ans, son premier long-mĂ©trage, A Fistful of Fingers 1995, un pastiche des westerns au budget dĂ©risoire, lui permet d’ĂȘtre repĂ©rĂ© et engagĂ© afin de mettre en scĂšne quelques Ă©pisodes de sĂ©ries tĂ©lĂ©. C’est Ă  cette Ă©poque qu’il fait la connaissance de l’acteur Simon Pegg. Leur duo donnera naissance Ă  une amitiĂ© sans faille et accessoirement Ă  la sĂ©rie-culte “Les AllumĂ©s” 1998. FascinĂ© Ă  la fois par le cinĂ©ma d’horreur et les comĂ©dies, il associe les deux dans Shaun of the Dead 2004 qui rencontre son premier succĂšs critique et public sur grand Ă©cran. Son apocalypse zombie est mĂȘme validĂ©e par George A. Romero en personne. C’est le premier Ă©lĂ©ment de sa trilogie Cornetto qui sera complĂ©tĂ©e par deux autres oeuvres comiques abordant le genre policier, Hot Fuzz 2007, et l’invasion alien, Le dernier pub avant la fin du monde 2013. Entre-temps, Hollywood lui a fait les yeux doux. Il rĂ©alise une fausse bande-annonce pour le diptyque Grindhouse 2006 de Quentin Tarantino et Robert Rodriguez, adapte le cĂ©lĂšbre comic Scott Pilgrim 2010 et participe Ă  l’écriture des Aventures de Tintin Le secret de La Licorne 2011. Marvel fait aussi appel Ă  lui pour donner vie au super-hĂ©ros Ant-man. Il sera Ă©cartĂ© du projet pour diffĂ©rences crĂ©atives. Son plus gros succĂšs Ă  ce jour demeure Baby Driver 2017, un thriller d’action qu’il a Ă©crit et qui prouve qu’il peut tourner autre chose que des comĂ©dies loufoques. Il rĂ©itĂšre d’ailleurs avec son thriller horrifique Last Night in Soho oĂč une Ă©tudiante d’aujourd’hui fait de mauvais rĂȘves plus qu’habitĂ©s qui la plongent dans les annĂ©es 60. Edgar Wright restera dans les films de genre pour son prochain projet, la nouvelle adaptation du Running Man de Stephen King. Une obsession Edgar Wright et le directeur de la photographie Chung-hoon Chung Comment est nĂ©e l’intrigue de Last Night in Soho ? Edgar Wright Je suppose qu’elle Ă©mane d’un certain nombre de choses. Avant tout, comme Eloise, l’hĂ©roĂŻne de Last Night in Soho, j’ai une obsession similaire avec les annĂ©es 60. Elle a probablement commencĂ© avec la collection de vinyles de mes parents. Ils avaient une petite sĂ©lection d’albums des annĂ©es 60. Ils l’ont dĂ©butĂ©e en 1964 et semblent l’avoir arrĂȘtĂ©e net au dĂ©but des annĂ©es 1970, quand mon frĂšre aĂźnĂ© est nĂ©, ce qui est triste. Rires En effet, Ă  la naissance de mon grand frĂšre, ils n’ont plus achetĂ© de disques. Comme j’étais laissĂ© tout seul Ă  la maison, ce qui Ă©tait frĂ©quent, j’ai dĂ©veloppĂ© cette obsession pour ces albums des annĂ©es 60, et aussi par association, pour l’histoire culturelle de l’époque Ă  travers la musique, les films, la mode, la tĂ©lĂ©vision et l’art. Je pouvais Ă©galement en parler Ă  mes parents quand ils Ă©taient lĂ , mais leurs histoires n’étaient pas toujours vraiment concluantes. J’avais l’impression qu’ils ne me disaient pas tout. D’une certaine maniĂšre, cela m’a conduit Ă  poursuivre une quĂȘte afin de dĂ©couvrir la vĂ©ritĂ©. Et puis, au-delĂ  de ça, quand j’avais 20 ans, j’ai dĂ©mĂ©nagĂ© Ă  Londres. Je vis Ă  Londres depuis 27 ans. A mon avis, j’ai passĂ© plus de temps Ă  Soho que sur n’importe quel canapĂ©, dans n’importe quel appartement oĂč j’ai vĂ©cu. Je suis Ă  Soho alors que je vous parle et l’un des lieux de tournage de Last Night in Soho se situe de l’autre cĂŽtĂ© de la rue. J’adore ça. C’est en quelque sorte fascinant et parfois dĂ©rangeant. J’ai l’impression que c’est l’endroit oĂč je vais passer le reste de ma vie. Vous reconnaissez-vous un peu dans le personnage d’Eloise ? Car comme elle, vous avez quittĂ© votre campagne dans le Somerset pour Ă©tudier Ă  Londres. Effectivement. C’est un amalgame de plusieurs choses. Je suis venu de la campagne Ă  Londres, donc j’ai en effet vĂ©cu l’expĂ©rience du rat des champs. C’est aussi liĂ© Ă  ma mĂšre. Nous avons tous les deux Ă©tudiĂ© dans une Ă©cole d’art. Elle dessinait Ă©galement des vĂȘtements. La mĂšre et la grand-mĂšre de Krysty Wilson-Cairns, qui a co-Ă©crit le scĂ©nario, Ă©taient couturiĂšres. Ma belle-soeur, qui vient de Cornouailles, a pareillement fait des Ă©tudes d’art et dessine des vĂȘtements. Cette histoire de rat des champs dĂ©barquant Ă  Londres me parle, comme elle parle Ă  Krysty. Il y a donc de gros Ă©lĂ©ments autobiographiques dans Last Night in Soho, c’est sĂ»r. Dame Diana Rigg L’un de vos personnages, Miss Collins jouĂ©e par Dame Diana Rigg, dit “C’est Londres. Quelqu’un est mort dans chaque piĂšce, Ă  chaque coin de rue et dans chaque immeuble”. Habitant et travaillant Ă  Soho, y pensez-vous quand vous marchez dans la rue ? Oui. Rires Devant n’importe quel vieil immeuble. Si le bĂątiment a 100 ans ou plus, je parie que quelqu’un est mort dans chaque piĂšce. C’est ce qui est aussi captivant. L’autre grande influence sur le scĂ©nario vient de ma mĂšre. Elle est comme Eloise. Je la qualifierai de surnaturellement active. Elle a vu le film pour la premiĂšre fois l’autre jour et je suis ensuite allĂ© dĂ©jeuner avec mes parents et mon frĂšre. Cela a fait ressortir toutes ces histoires que j’ai entendues en grandissant. Ma mĂšre est le genre de personnes qui ressent des prĂ©sences dans les vieilles maisons ou dans des lieux ayant une signification historique. Et mĂȘme dans notre propre maison de famille dans le Somerset. Ma mĂšre y a vu deux fantĂŽmes distincts un ancien propriĂ©taire et l’enfant d’un autre propriĂ©taire. J’ai grandi dans cette maison de 11 Ă  20 ans. Ma mĂšre disait qu’elle pouvait voir des choses, et ni mon frĂšre ni moi n’avons jamais rejetĂ© ce fait. Je l’envie presque parce que moi, je n’ai pas vu de fantĂŽme. J’aurais adorĂ© en voir un. Donc, le fait que ma mĂšre est, d’une certaine maniĂšre, trĂšs ouverte Ă  l’idĂ©e de prĂ©sences surnaturelles est quelque chose qui a eu un impact majeur sur moi. Ainsi, quand Miss Collins dit cette phrase, je la crois. Une femme hors du commun Thomasin McKenzie et Anya Taylor-Joy Last Night in Soho est le premier long-mĂ©trage oĂč vos personnages principaux sont des femmes. C’est quelque chose qui me tenait Ă  cƓur et que je voulais faire depuis longtemps. J’ai cependant toujours travaillĂ© avec une Ă©quipe de collaboratrices comme Nira Park et Rachael Prior, qui ont produit tous mes films. Sur Last Night in Soho, avant mĂȘme de commencer Ă  Ă©crire avec Krysty, Lucy Pardee, une directrice de casting rĂ©compensĂ©e par un BAFTA, a fait des recherches approfondies pour moi. C’était il y a presque dix ans, quand j’ai eu l’idĂ©e de l’histoire et que j’ai commencĂ© Ă  y penser. C’était peut-ĂȘtre cinq ans avant que je rencontre Krysty. Lucy a menĂ© des centaines d’interviews de gens qui ont vĂ©cu et travaillĂ© Ă  Soho, dans les annĂ©es 60, mais aussi aujourd’hui. Elle a Ă©galement parlĂ© Ă  des Ă©tudiants dans le secteur de la mode et d’autres qui ont quittĂ© la province pour venir Ă  Londres. Quand j’ai entamĂ© l’écriture avec Krysty en 2018, j’avais un document gros comme un annuaire Ă  lire avec tous ces entretiens Ă©tonnants, dĂ©rangeants et fascinants qui validaient en quelque sorte l’histoire que j’avais dĂ©jĂ  concoctĂ©e. Mais je voulais entendre des points de vue rĂ©els. Krysty a, en outre, apportĂ© sa propre perspective. Par exemple, Eloise est engagĂ©e dans un pub appelĂ© le Toucan oĂč Krysty a Ă©tĂ© employĂ©e comme barmaid pendant cinq ans. Et elle vivait au-dessus d’un club de striptease au coin de Dean Street qui existe toujours, il a survĂ©cu Ă  la pandĂ©mie. J’ai travaillĂ© Ă  Soho pendant 27 ans et, plus rĂ©cemment, j’y ai vĂ©cu, et Krysty a, en quelque sorte, fait de mĂȘme. Avoir son point de vue sur l’histoire est Ă©videmment inestimable. Elle a pris ce que j’avais dĂ©jĂ  Ă  proposer et offert des suggestions incroyables. J’ai l’impression que les gens ne savent pas que j’ai toujours collaborĂ© avec des femmes sur mes projets. Elles sont encore aujourd’hui les premiĂšres personnes que je consulte pour savoir ce que je veux faire, et surtout avec Last Night in Soho. C’est probablement pour cette raison que dĂ©velopper ce long-mĂ©trage m’a demandĂ© plus de temps. Je voulais le faire correctement. Edgar Wright et la scĂ©nariste Krysty Wilson-Cairns Pensez-vous que cette perspective fĂ©minine Ă©tait plus appropriĂ©e notamment parce que vous abordez le thĂšme de l’exploitation sexuelle des femmes dans les annĂ©es 60 ? Je suppose, d’une certaine maniĂšre. Cet Ă©lĂ©ment Ă©mane aussi du fait que j’ai regardĂ© beaucoup de drames des annĂ©es 60. Ces histoires tournaient alors autour de ce genre de clichĂ©s une jeune femme dĂ©barque Ă  Londres pour devenir une star, puis elle est punie sĂ©vĂšrement pour cette audace. Mais c’était une version moralisatrice et salace, gĂ©nĂ©ralement Ă©crite par des hommes. Pour moi, quand on regarde ces longs-mĂ©trages, ils ressemblent Ă  la vieille garde de l’époque et expriment une sorte de rĂ©primande contre la libĂ©ration de ceci ou de cela et contre les mouvements progressistes. J’ai trouvĂ© ce thĂšme trĂšs prenant et j’imagine qu’il a inspirĂ© l’idĂ©e du film deux rĂ©cits jumeaux avec une jeune fille qui arrive Ă  Londres dans le monde moderne et qui voit l’histoire d’une autre jeune femme arrivant Ă  Londres dans les annĂ©es 60. Vous disiez envier votre mĂšre et son aptitude Ă  percevoir des fantĂŽmes. J’imagine que dans le cas d’Eloise, vous estimez que de voir des esprits est pour elle un don et non une malĂ©diction. Oui. Un journaliste m’a demandĂ© dans une interview ce que Last Night in Soho disait sur les maladies mentales. J’ai rĂ©pondu qu’en ce qui me concerne, Eloise n’est pas une malade mentale. Elle a un don. Évidemment, pour les gens extĂ©rieurs Ă  tout ça
 Si vous entrez dans une salle d’interrogatoire de police, comme Eloise le fait dans le film, et que vous dites que vous avez eu la vision d’un meurtre dans les annĂ©es 60, l’officier de police va vous regarder comme si vous Ă©tiez fou. C’est pareil avec ma mĂšre. Elle partage ses histoires, mais pas avec tout le monde parce qu’elle sait comment les gens vont la percevoir. Ils vont penser qu’elle est folle. Mais je crois que pour quelqu’un qui possĂšde cette aptitude psychique, oui c’est un don, absolument. L’angoisse du prĂ©sent Thomasin McKenzie Comment ce don fonctionne-t-il dans votre film ? Parce qu’on voit Eloise dans le reflet de Sandie quand elle est devant un miroir donc on comprend qu’elle est dans le corps de Sandie. Mais parfois il n’y a ni miroir ni reflet et Eloise est une simple spectatrice de ce qui arrive Ă  Sandie. Quelles rĂšgles avez-vous Ă©tablies ? L’idĂ©e est qu’Eloise chevauche des vagues Ă©motionnelles. Dans un sens, elle ressent distinctement les souvenirs d’une personne. C’est basĂ© sur les deux concepts des fantĂŽmes. Soit ce sont des Ăąmes laissĂ©es derriĂšre, dans le purgatoire, sur Terre, avec des problĂšmes non rĂ©solus. Soit ce sont des rĂ©sidus psychiques d’un Ă©vĂ©nement et non de vraies Ăąmes. C’est ce qu’Eloise capte. Elle capte les vibrations d’un Ă©vĂ©nement, et donc elle est tellement Ă  l’écoute, que dans son rĂȘve, elle revit les souvenirs de quelqu’un d’autre. D’une certaine maniĂšre, ce qui se passe dans les rĂȘves d’Eloise est comme ce qui se passe dans mon propre cauchemar du voyage dans le temps. Je reviens dans le passĂ©, mais je ne peux rien faire, j’ai juste la possibilitĂ© de regarder. Dans Retour vers le futur, Marty McFly voyage physiquement dans le temps et peut littĂ©ralement changer le futur. Mais Eloise ne fait que rĂȘver et revivre en quelque sorte les souvenirs de quelqu’un d’autre. Elle est presque comme un avatar qui est incapable de modifier le cours de l’histoire. Quand elle Ă©change de corps avec Sandie, les Ă©motions deviennent si fortes qu’elle ne fait plus qu’une avec elle. Et Ă  d’autres moments, elle est juste une voyeuse. Eloise reprĂ©sente mon cauchemar de remonter le temps sans pouvoir rien faire, sans pouvoir modifier le cours de l’Histoire. Vous aimeriez donc retourner dans le passĂ©. Oui. Cependant, le problĂšme est qu’on ne peut pas avoir le bon sans le mauvais. C’est le sujet de Last Night in Soho, mais bien sĂ»r, oui j’aimerais revenir en arriĂšre. Toutefois, bizarrement, je pense que rĂȘver de retourner dans le passĂ© signifie que je ne veux pas faire face aux difficultĂ©s du prĂ©sent. Rires J’ai l’impression d’avoir beaucoup pensĂ© Ă  remonter le temps, au point de commencer Ă  rĂ©flĂ©chir Ă  des questions pratiques comme et si je remontais le temps et que je n’avais pas le bon argent ? Et si je remontais le temps et que je devais trouver un assassin, mais que je ne me souvenais pas de la date de l’assassinat ? Et alors je me dis “Mais pourquoi je me plains de tout ça ? Cela ne m’arrivera jamais”. Et c’est lĂ , alors que vous passez des heures, des jours et des semaines Ă  penser Ă  ce genre de choses, que vous vous dites que ce qui se passe vraiment, c’est que vous n’arrivez pas Ă  gĂ©rer le prĂ©sent. Rires Anya Taylor-Joy Aujourd’hui, et surtout depuis la pandĂ©mie, beaucoup de gens ont peur du futur ou mĂȘme du prĂ©sent. Ils ont alors tendance Ă  prĂ©fĂ©rer penser au passĂ© car ils le connaissent et possĂšdent les codes pour le comprendre. C’est plus rassurant pour eux. Certes. Toutefois, Eloise est obsĂ©dĂ©e par une dĂ©cennie qu’elle n’a jamais vĂ©cue. Je suis obsĂ©dĂ©e par une dĂ©cennie dans laquelle je ne suis pas nĂ©. Étrangement, les dĂ©cennies que j’ai vĂ©cues n’ont pas autant d’intĂ©rĂȘt pour moi. Quand il y a un revival des annĂ©es 80, comme avec beaucoup de films et de sĂ©ries tĂ©lĂ©, cela ne me touche pas parce que j’y Ă©tais. Rires Prenez des longs-mĂ©trages comme Wonder Woman 84 ou des sĂ©ries comme “Stranger Things”, pendant que vous vous souvenez des annĂ©es 80, moi, je dis “Oui, je me rappelle des annĂ©es 80. Qu’avez-vous d’autre ?”. Rires Je suis nĂ© en avril 1974 et je viens de rĂ©aliser un documentaire sur les Sparks [The Sparks Brothers, 2021] qui ont eu leur premier gros succĂšs le mois de ma naissance. Je me souviens d’une partie de cette histoire. Mais tout ce qui s’est passĂ© avant ma naissance reste pour moi le plus fascinant. Quelles rĂšgles avez-vous inventĂ©es concernant les fantĂŽmes de Last Night in Soho, quant Ă  ce qu’ils pouvaient faire et ne pas faire ? C’est difficile d’en parler sans trop dĂ©voiler l’intrigue. Je ne peux pas vraiment expliquer tout ça sans rĂ©vĂ©ler la fin. Rires Dans six mois, je pourrai aborder le sujet. Nous avions une rĂšgle. Mais elle peut expliquer littĂ©ralement quelque chose qui se passe dans la scĂšne finale. Donc, je ne veux pas l’évoquer. Rires ChorĂ©graphies et transgressions Anya Taylor-Joy et Thomasin McKenzie Comment avez-vous filmĂ© les scĂšnes impliquant les miroirs et les reflets de vos protagonistes ? Je dirais que c’est Ă  la fois simple et remarquablement compliquĂ©. Quand Anya Taylor-Joy Sandie est d’un cĂŽtĂ© de la vitre qui reprĂ©sente un miroir et Thomasin McKenzie Eloise est de l’autre cĂŽtĂ©, la scĂšne a Ă©tĂ© filmĂ©e en mĂȘme temps. Anya et Thomasin sont cĂŽte Ă  cĂŽte ou face Ă  face. En fait, le plus compliquĂ© est de faire de longues prises fluides, sans Ă©cran vert et, Ă  quelques exceptions prĂšs, sans contrĂŽle de mouvement. Une grande partie s’appuie juste sur une chorĂ©graphie. Pour ĂȘtre honnĂȘte, tout tient Ă  la chorĂ©graphie. Le camĂ©raman doit ĂȘtre au bon endroit au bon moment, et heureusement, il Ă©tait absolument brillant. Quant aux actrices et aux acteurs, ils doivent s’imiter les uns les autres. Thomasin et Anya se sont immĂ©diatement liĂ©es comme des soeurs, car elles devaient tout le temps ĂȘtre le miroir l’une de l’autre. Et puis, d’autres fois, comme dans mon propre cauchemar de retour dans le passĂ©, Thomasin est juste une voyeuse. Elle est dans la scĂšne avec Anya Taylor-Joy et Matt Smith, mais elle ne peut que les observer. La plupart des scĂšnes avec ces effets ont Ă©tĂ© filmĂ©es en utilisant toutes les astuces existant dans le cinĂ©ma. Certaines d’entre elles, compliquĂ©es, sont incroyablement primitives comme les doubles dĂ©cors. Vous avez deux chambres ou deux vestibules et une actrice dans chaque piĂšce qui regarde l’autre. Dans une des scĂšnes dans le sous-sol du bar, Thomasin est assise sur une banquette double, mais pour rendre le tout compliquĂ©, la personne Ă  qui elle parle est vue devant un vrai miroir de sorte que vous pouvez voir son reflet. Ces diffĂ©rents dispositifs bien rĂ©els permettaient aux acteurs de ressentir des Ă©motions pendant qu’on les filmait. Nous avons travaillĂ© trĂšs dur avec les Ă©quipes camĂ©ra, dĂ©cors et effets visuels afin d’élaborer ces plans. On en a tournĂ© certains en vidĂ©o en amont, et parfois avec les acteurs, pour que tout le monde sache ce qu’il devait faire. Quelques fois, sur le plateau pendant le tournage, certains membres de l’équipe qui n’avaient pas participĂ© Ă  ce processus nous regardaient en s’interrogeant “Mais qu’est-ce qu’ils font ?”. Rires Et puis finalement, alors qu’ils voyaient la scĂšne en train d’ĂȘtre filmĂ©e, ils rĂ©alisaient “Ah, maintenant, j’ai compris”. Je pense que la raison pour laquelle cela fonctionne si bien – si cela fonctionne vraiment –, c’est parce que les comĂ©diens ont travaillĂ© les uns avec les autres, qu’ils se sont nourris les uns les autres. Si on les avait sĂ©parĂ©s et qu’on avait tournĂ© entiĂšrement sur un Ă©cran vert par exemple, on n’aurait pas obtenu les mĂȘmes performances d’Anya et de Thomasin. Plus d’une fois, ce n’est qu’une simple histoire de chorĂ©graphie et de prĂ©cision. Les gens s’imaginent que c’est plus compliquĂ© que cela ne l’est en rĂ©alitĂ©. Ce grand numĂ©ro de danse oĂč Matt Smith passe d’une partenaire Ă  l’autre, la plupart du temps, c’est juste un plan filmĂ© avec une steadycam alors qu’Anya et Thomasin Ă©changent leur place hors champ. C’est excitant de concevoir ces scĂšnes avec un chorĂ©graphe et de les voir Ă  la camĂ©ra sur le plateau, pendant le tournage, car on n’a pas Ă  attendre six mois pour voir l’effet final. Vous repassez l’enregistrement et vous laissez toute l’équipe se presser autour des moniteurs pour regarder. Quand ça fonctionne, vous entrez dans le monde magique des illusions d’optique. J’adore ça. Anya Taylor-Joy, Edgar Wright et Matt Smith Pouvez-vous nous parler de l’esthĂ©tique de Last Night in Soho ? Comment avez-vous créé ces deux univers Ă  deux Ă©poques diffĂ©rentes ? Les sĂ©quences de la pĂ©riode moderne, Ă  Londres, possĂšdent un ton un peu gris et hostile. L’architecture londonienne, comme la ville, peut ĂȘtre un peu brutale. Je voulais crĂ©er un sentiment froid et rebutant. Par contraste, quand on retourne dans les annĂ©es 60, on est frappĂ© par le Technicolor de l’époque. On a regardĂ© des films en Eastmancolor et en Technicolor des annĂ©es 60 qui nous ont inspirĂ©s pour notre palette comme L’ObsĂ©dĂ© de William Wyler, Le Voyeur de Michael Powell ou encore Sapphire de Basil Dearden. Ces mĂ©trages ont l’air si irrĂ©els, mais glamour, et c’était l’idĂ©e que l’on recherchait pour les sĂ©quences des annĂ©es 60. Puis, vers la moitiĂ© de l’histoire, lorsque le passĂ© commence Ă  envahir le prĂ©sent, toutes les couleurs de l’époque l’accompagnent. Si vous regardez la seconde moitiĂ© de Last Night in Soho, cette couleur fantasmagorique a maintenant envahi le prĂ©sent. Nous avons utilisĂ© des lentilles sphĂ©riques pour le Londres d’aujourd’hui, puis des lentilles anamorphiques pour les annĂ©es 1960. À partir de la moitiĂ© du film jusqu’à la fin, les lentilles sont anamorphiques pour rendre le film plus onirique. L’idĂ©e est qu’au moment oĂč l’on arrive Ă  la fin, avec un peu de chance, on a le sentiment que l’ensemble est trĂšs expressionniste et lyrique, de telle sorte que l’on n’est pas tout Ă  fait sĂ»r de ce qu’il se passe. Eloise manque alors tellement de sommeil que l’on ne sait pas si l’on regarde le film Ă  travers ses yeux. C’est votre Ɠuvre la plus sombre de votre filmographie, sans quasiment aucun humour. Que se passe-t-il ? Avez-vous grandi ? Sourire Eh bien, j’ai 47 ans. Je pense que Soho est un endroit assez envoĂ»tant. Certaines personnes se promĂšnent dans la ville et ne pensent jamais Ă  son histoire. Je ne fais pas partie de ces gens. J’y pense tout le temps. Cela me hante littĂ©ralement de rĂ©flĂ©chir aux bĂątiments dans lesquels je me trouve, Ă  ce qu’il s’y est passĂ© et Ă  leur histoire. Je suppose que c’est dĂ» Ă  ma relation compliquĂ©e avec Londres, une ville que j’aime. Comme toute grande citĂ©, elle a beaucoup de problĂšmes et a vĂ©cu des Ă©vĂ©nements trĂšs sombres dans son passĂ©. Je ne dis pas que je ne referai pas un film comique, cette idĂ©e n’a pas complĂštement disparu, mais c’est quelque chose que je ressens souvent avec mes projets. J’éprouve des choses que je dois Ă©vacuer de mon systĂšme. J’ai un peu l’impression, quand je fais des films, d’ĂȘtre sur le divan d’un psychiatre. Rires Donc, je ne dirai pas que je ne ferai plus jamais de film drĂŽle, mais Ă©trangement, j’ai le sentiment que Last Night in Soho est un de mes films les plus personnels. Thomasin McKenzie Les rĂ©alisateurs affirment souvent qu’un film d’horreur peut ĂȘtre cathartique, pour eux comme pour les spectateurs. Est-ce votre cas ? Est-ce que Last Night in Soho vous a guĂ©ri, par exemple, de votre obsession des annĂ©es 60 qui vous poursuit depuis toujours ? Le film me fait m’interroger sur la raison pour laquelle je pense autant au passĂ©. Comme je vous l’ai dit, je me demande si c’est parce que je ne peux pas gĂ©rer le prĂ©sent. Ce qui est assurĂ©ment vrai. Je crois aussi qu’il y a quelque chose avec les films d’horreur
 Je n’en ai pas fait depuis longtemps, car je voulais trouver un sujet qui me dĂ©range vraiment. J’estime que si vous faites un film d’horreur et qu’il ne vous semble pas transgressif d’une maniĂšre ou d’une autre, c’est qu’il y a probablement quelque chose qui ne va pas dans ce que vous faites. Le film semble complaisant si vous n’ĂȘtes pas vous-mĂȘme dĂ©rangĂ© par le sujet. C’est sans doute aussi pour cela que Last Night in Soho a mis du temps Ă  arriver. Je ne suis pas sĂ»r qu’il ait Ă©tĂ© complĂštement cathartique parce que je ne peux pas m’enfuir du quartier de Soho. Je peux littĂ©ralement voir l’un des principaux lieux du tournage depuis ma fenĂȘtre. Donc, je ne suis pas sĂ»r de m’en Ă©chapper un jour, Ă  moins de dĂ©mĂ©nager. CrĂ©dit photos © Parisa Taghizadeh / Focus Features LLC / Universal International Pictures Article paru dans L’Ecran fantastique reboot – N°13 – Novembre 2021 Partager la publication "Last Night in Soho Nostalgie et cauchemar" FacebookTwitter
Unification Last Night in Soho est un immense film qui donne une vĂ©ritable leçon de mise en scĂšne cinĂ©matographique. C’est le rĂ©alisateur Edgar Wright qui se trouve aussi derriĂšre le Trailers News et dossiers Photos Casting Last Night in Soho Bande-Annonce 2 VOST Bande-Annonce 2 VOST Avec Thomasin McKenzie , Anya Taylor-Joy , Matt Smith , Terence Stamp , Diana Rigg , SynnĂžve Karlsen , Rita Tushingham , Lisa McGrillis , Michael Jibson , Andrew Bicknell , Michael Ajao , Colin Mace , Oliver Phelps , Jessie Mei Li , Lee Byford , Will Rogers IV , Will Rowlands , Margaret Nolan , Katrina Vasilieva , Kassius Nelson , Georgie Banks , Rebecca Harrod , Sam Parks , Connor Calland , Nick Owenford , Josh ZarĂ© , Adam Sopp , Nina Kumar , Maud Druine , Joakim Skarli , Lati Gbaja , Georgina Frances Hart , Barbara Orti , Richard Price , Paul Riddell , Grace Binford Sheene , Jacob Trup , Morgan Bull , Sam Claflin , Elizabeth Berrington , Terence Frisch , Beth Singh , Alan Mahon RĂ©alisĂ© par Edgar Wright Fantastique Horreur LastNight in Soho : Edgar Wright rĂȘve le Londres des 60's dans la nouvelle bande-annonce; Last Night in Soho : Edgar Wright rĂȘve le Londres des 60's dans la nouvelle bande-annonce. le 09/09/2021 Ă  09:35 par Charles Martin

Universal Pictures a dĂ©voilĂ© une premiĂšre bande annonce de Last Night in Soho, le prochain film d’Edgar Wright prĂ©vu pour la fin d’annĂ©e. Synopsis LAST NIGHT IN SOHO met en scĂšne l’histoire d’une jeune femme passionnĂ©e de mode et de design qui parvient mystĂ©rieusement Ă  retourner dans les annĂ©es 60 oĂč elle rencontre son idole, une Ă©blouissante jeune star montante. Mais le Londres des annĂ©es 60 n’est pas ce qu’il parait, et le temps semble se dĂ©sagrĂ©ger entrainant de sombres rĂ©percussions. Last Night in Soho d’Edgar Wright avec Anya Taylor-Joy, Thomasin Harcourt McKenzie, Matt Smith, Terence Stamp, Diana Rigg, Rita Tushingham, Michael Ajao, et SynnĂžve Karlsen, est prĂ©vu pour le 10 novembre prochain au cinĂ©ma. Trailer en VF Trailer en VO

Voirla bande annonce . LAST NIGHT IN SOHO . Sortie le 27 octobre 2021 . Drame, Horreur (1h57) LAST NIGHT IN SOHO d'Edgar Wright met en scĂšne l'histoire d'une jeune femme passionnĂ©e de mode et de design qui parvient mystĂ©rieusement Ă  retourner dans les annĂ©es 60 oĂč elle rencontre son idole, une Ă©blouissante jeune star montante. Mais le
Et si Edgar Wright rĂ©alisait un Ă©pisode de Ghost Whisperer ? Fiche Titre Last Night in Soho Titre VO– RĂ©alisateur Edgar Wright ScĂ©nariste Krysty Wilson-Cairns Acteurs Thomasin McKenzie, Anya Taylor-Joy, Matt Smith, Terence Stamp Date de sortie27 / 10 / 2021 DurĂ©e1h 56 GenreDrame, Horreur, MystĂšre, Thriller Budget43 000 000 $ Une jeune femme a le mystĂ©rieux pouvoir d’aller dans les annĂ©es 60 oĂč elle rencontre son idole, une chanteuse en devenir. Mais le Londres des annĂ©es 60 cache bien des choses et le temps semble s’écrouler vers de sombres consĂ©quences. Un nouveau Edgar Wright, ça ne se refuse pas. Mais quand t’as deux gamins dans les bras, un moment, faut faire des choix, je me suis donc prĂ©servĂ© pour une sĂ©ance maison. C’est dĂ©sormais chose faite. Alors une nouvelle bombe signĂ©e par le rĂ©alisateur d’un de mes films prĂ©fĂ©rĂ©s de tous les temps, j’ai nommĂ© Scott Pilgrim 2010 ? Pour commencer, Last Night in Soho m’a subjuguĂ© par sa scĂšne d’ouverture. Je l’ai vu, je ne sais pas combien de fois. Un pur moment de magie que malheureusement la suite n’arrivera jamais Ă  reproduire malgrĂ©, tout de mĂȘme, quelques moments de grĂące. La magie du visuel ne suffit pas Ă  sauver l’histoire Le gros problĂšme du long-mĂ©trage du jour Ă  mes yeux rĂ©side en son histoire assez basique. En fait, tu enlĂšves les bonnes inspirations visuelles et musicales Ă  la rĂ©alisation de la part d’Edgar Wright et le talent des acteurs, on se retrouve devant un thriller du dimanche assez banal, pour ne pas dire un Ă©pisode de Ghost Whisperer. Oui, oui, le truc qui passait Ă  la tĂ©lĂ© oĂč Jennifer Love Hewitt s’amusait Ă  chuchoter des mots doux Ă  l’oreille des fantĂŽmes enfin, je crois car je n’ai jamais pu regarder plus de dix minutes. Je sais que l’insulte est forte, mais l’idĂ©e est lĂ . En parlant de ridicule, le climax est d’ailleurs Ă  deux doigts d’y sombrer. Heureusement, Edgar Wright arrive Ă  insuffler une certaine puissance aux images en leur confĂ©rant une certaine poĂ©sie tragique pour que l’ensemble ne se fasse pas renverser par un taxi rĂ©fĂ©rence pour ceux ayant vu le film. Je n’oublie pas non plus l’intelligence de filer des indices sur le dĂ©nouement aux spectateurs avertis permettant d’accuser le coup du c’est trop gros ! ». Et non, ce n’est pas une rĂ©plique tirĂ©e d’un porno. Miller y trouva sa Furiosa Le plus gros point fort de Last Night in Soho est, sans hĂ©siter, son ambiance. On commence avec une version idĂ©alisĂ©e des sixties avant de gratter le vernis et se rendre compte que le passĂ© n’est pas si idyllique que ça. Il y a Ă©galement, comme d’habitude chez Wright, une belle ambiance musicale. Par contre, lĂ  oĂč le bonhomme m’a surpris, c’est en installant une atmosphĂšre horrifique lĂ©gĂšrement flippant quand mĂȘme. Y a des plans qui m’ont fait frissonner. Au niveau des acteurs, l’actrice principale Thomasin McKenzie arrive Ă  jouer la fille assez nunuche, mais pas suffisamment pour se rĂ©vĂ©ler agaçante. Anya Taylor-Joy rayonne, pourtant, j’ai du mal avec l’actrice. Je ne suis donc pas surpris en apprenant que George Miller, aprĂšs avoir vu un des premiers montages du film, a Ă©tĂ© tellement impressionnĂ© par l’actrice qu’il s’est dĂ©pĂȘchĂ© de la rencontrer pour lui proposer le rĂŽle principal de son prochain film Furiosa. Quant Ă  Matt Smith, malheureusement, il est trop secondaire. Par rendant Ă©galement hommage Ă  Diana Rigg. Conclusion Heureusement qu’il y a le gĂ©nie d’Edgar Wright pour remonter le niveau d’un Last Night in Soho tirĂ© par le bas Ă  cause de son histoire tirĂ©e par les cheveux. Bref, un visionnage vaut quand mĂȘme le coup grĂące Ă  la prĂ©sence d’images puissantes, de la gĂ©niale ambiance sixties et une rayonnante Anya Taylor-Joy. + Pas mal de beaux plans Anya Taylor-Joy Ambiance – Histoire bof 7/10

Commeen tĂ©moigne la bande-annonce qui vient d'ĂȘtre dĂ©voilĂ©e, sur un air de "Downtown", Last Night in Soho, c'est le titre de son nouveau film, promet une oeuvre esthĂ©tique, aux faux airs de

Edgar Wright a fini par ĂȘtre compris pour ses choix stylistiques incroyables dans des films qui laissent une impression. Du style sonore incroyable de Infant Motorist Ă  la narration transmĂ©dia de niche spĂ©cifique dans Scott Pilgrim vs the World , nous avons apprĂ©ciĂ© sa carriĂšre avec plus qu’un peu d’intĂ©rĂȘt . Quand un principe Ă©trange a Ă©tĂ© annoncĂ© et mis en vedette Thomasin McKenzie et Anya Taylor-Joy, notre intĂ©rĂȘt s’est immĂ©diatement enflammĂ©. En vĂ©ritĂ©, c’était mĂȘme suffisant pour arriver Ă  nos films les plus attendus des choix de podcast 2021! Pendant un certain temps, nous n’avons pas eu beaucoup d’informations sur lesquelles nous tirer. La bande-annonce de Last Night in Soho est enfin tombĂ©e, et ce n’est pas ce que nous avions prĂ©vu. Voyons pourquoi nous en sommes ravis. Jetez un Ɠil Ă  la bande-annonce de Last Night in Soho ci-dessous pour voir de quoi nous parlons! Que se passe-t-il dans la Last Night in Soho Trailer!. ?. !? Comme on le voit dans la bande-annonce, le film suivra Eloise de Thomasin McKenzie alors qu’elle transfĂšre Ă  Londres Ă  la poursuite d’une carriĂšre dans la mode. Comme de nombreux touristes peuvent le confirmer, dĂ©mĂ©nager dans une nouvelle ville peut ĂȘtre solitaire. Heureusement pour EloĂŻse, elle n’est pas seule depuis longtemps. Elle se retrouve rapidement consommĂ©e dans son incarnation de Sandy d’Anya Taylor-Joy, une sorte d’interprĂšte attrayante et douĂ©e. Ce qui commence comme le glamour des annĂ©es 60 repose sur l’horreur claire lorsque des identitĂ©s sĂ©parĂ©es s’emmĂȘlent. La bande-annonce prospĂšre grĂące aux efficiences fascinantes de MacKenzie et Taylor-Joy. Nous voyons que cette derniĂšre sort d’un record en carriĂšre avec son interprĂ©tation de Beth Harmon dans, pour laquelle elle a remportĂ© un Golden World et un prix SAG. D’un autre cĂŽtĂ©, Thomasin McKenzie a en fait Ă©tĂ© sur notre radar Ă©tant donnĂ© son rĂŽle sincĂšre et intime de Tom dans Leave No Trace de 2018 et sa vision ridicule mais dĂ©vastatrice d’Elsa Korr en 2019.> Non seulement le film est dirigĂ© par des joueurs impressionnants Ă  l’écran, mais notre foi dans le travail en coulisse de Wright est remarquable. Les attraits visuels qu’il semble rechercher ne peuvent que nous rappeler l’horreur mentale de Nicolas Winding Refn en 2016, The Neon Demon . Le genre passionnant s’assure de prendre vie d’une maniĂšre Ă  laquelle nous ne sommes pas habituĂ©s, et nous sommes plus que prĂȘts Ă  essayer ce film spĂ©culatif. Lecteurs, nous souhaitons entendre ce que vous en pensez aprĂšs voir la bande-annonce de Last Night in Soho . Êtes-vous prĂȘt Ă  ĂȘtre effrayĂ© ou voulez-vous regarder ces superbes graphismes pendant des heures? Last Night in Soho sortira en salles le 22 octobre 2021. Image incluse via les fonctionnalitĂ©s de mise au point.

OriginalMotion Picture Soundtrack pour le film Last Night In Soho: Downtown composĂ© par Various Artists, Anya Taylor-Joy, publiĂ© par Back Lot Music en 2021 Anya Taylor-Joy – Last night in Soho Last Night in Soho, le nouveau film de Edgar Wright, se rĂ©vĂšle dans une premiĂšre bande annonce qui annonce un voyage dans le temps vers l’étrange quartier londonien. Last night in Soho – affiche Last Night in Soho est le prochain long mĂ©trage trĂšs attendu de Edgar Wright Ă  qui l’on doit dĂ©jĂ  Shaun of the Dead, Hot Fuzz, Baby Driver. Ce thriller angoissant sur fond de voyage dans le temps, Ă©crit par Krysty Wilson-Cairns, auteure sur la sĂ©rie Penny Dreadful, 1917 de Sam Mendes et le prochain Star Wars de Taika Waititi, est encore un virage Ă  180 degrĂ©s pour le cinĂ©aste. Le film est portĂ© par Anya Taylor-Joy Split, Le Jeu de la dame, Thomasin McKenzie Jojo Rabbit, prochainement Old de M. Night Shyamalan et Matt Smith Doctor Who. Un casting quatre Ă©toiles pour film dont le synopsis promet une vĂ©ritable expĂ©rience cinĂ©matographique. On y suivra une jeune fille, passionnĂ©e de mode, qui se retrouve dans les annĂ©es 60. Elle rĂ©ussit sur place Ă  rencontrer son idole, une jeune chanteuse en devenir. Mais une terrible histoire de fantĂŽmes vient perturber ce doux rĂȘve. Des images avaient circulĂ© fin 2019. Depuis, un teaser a Ă©tĂ© diffusĂ© au Saturday Night Live, le cĂ©lĂšbre talk-show humoristique amĂ©ricain, lors de la venue de l’actrice Anya Taylor-Joy. Aujourd’hui, Universal Pictures a mis en ligne la bande-annonce. Et le mystĂšre s’épaissit encore plus pour ce nouveau rĂ©cit aux allures cryptiques et angoissantes. Last Night in Soho a Ă©tĂ© tournĂ© Ă  Londres et ouvertement influencĂ© par des Ɠuvres, comme Ne vous retournez pas de Nicolas Roeg 1973 ou Suspiria de Dario Argento 1977. Les premiĂšres images dĂ©voilent des apparitions effrayantes et une atmosphĂšre angoissante. Dans ses projets, Edgar Wright sortira d’abord en France en juillet prochain The Sparks Brothers, et qui sera prĂ©sentĂ© au festival de Sundance Ă  Londres. Il nous surprendra encore une fois en changeant de registre avec ce documentaire musical sur les frĂšres et membres du groupe The Sparks Brothers, Ron et Russell Mael. Last Night in Soho, qui devait dĂ©barquer au cinĂ©ma en 2020, mais a Ă©tĂ© retardĂ© en raison de la pandĂ©mie de coronavirus, est finalement prĂ©vu pour le 10 novembre dans les salles françaises. Maxence-Yahia Lequere Film: succĂšs pour la bande-annonce de Last Night in Soho 13/10/2021 20:35 (By Etienne Jean de la PERLE) Film : succĂšs pour la bande-annonce de Last Night in Soho L’AFP et AllocinĂ© ont levĂ© le voile sur le classement des bandes-annonces les plus visionnĂ©es sur la semaine Ă©coulĂ©e. En pole position, on retrouve le trailer du nouveau film La bande-annonce de Last Night in Soho, un thriller psychologique rĂ©alisĂ© par Edgar Wright prĂ©vu pour la fin de l’annĂ©e au cinĂ©ma. LAST NIGHT IN SOHO met en scĂšne l’histoire d’une jeune femme passionnĂ©e de mode et de design qui parvient mystĂ©rieusement Ă  retourner dans les annĂ©es 60 oĂč elle rencontre son idole, une Ă©blouissante jeune star montante. Mais le Londres des annĂ©es 60 n’est pas ce qu’il parait, et le temps semble se dĂ©sagrĂ©ger entrainant de sombres rĂ©percussions. RĂ©alisĂ© par Edgar Wright, Last Night in Soho est prĂ©vu pour le 10 novembre 2021 dans les salles avec Kassius Nelson, Anya Taylor-Joy, Thomasin McKenzie, Matt Smith, Diana Ring, Rita Tushingham, Synnove Karlsen et Jessie Mei Li. ThomasRĂ©dacteur en chef et chroniqueur anti-protocolaire. Enfant des annĂ©es 80's / 90’s biberonnĂ© Ă  la Pop Culture.
Synopsisdu film Last Night in Soho 2021. Eloise est une jeune femme passionnée de mode. Un jour, elle voyage dans le temps et se retrouve mystérieusement dans les années 1960. Elle y rencontre Sandy, son idole, qui n'est alors qu'une éblouissante chanteuse en devenir.
Quatre ans aprĂšs Baby Driver, le rĂ©alisateur britannique Edgar Wright est de retour avec Last Night in Soho, un drame psychologique mettant en scĂšne Anya Taylor-Joy et Diana Rigg dans l’un de ses derniers rĂŽles au cinĂ©ma. Le film relate l’histoire d’une jeune femme passionnĂ©e de mode qui se retrouve mystĂ©rieusement dans les annĂ©es 60 oĂč elle rencontre Sandy, son idole, une Ă©blouissante jeune star montante. Cependant, le Londres de cette Ă©poque n’est pas ce qu’il paraĂźt. De plus, le temps semble se dĂ©sagrĂ©ger et cela aura de lourdes consĂ©quences. Comme on peut le dĂ©couvrir dans la bande-annonce qui vient d’ĂȘtre dĂ©voilĂ©e, le film promet d’ĂȘtre fidĂšle Ă  la vision singuliĂšre du rĂ©alisateur oĂč la sublime photographie, assurĂ©e ici par Chung-hoon Chung, fidĂšle collaborateur de Park Chan-wook Oldboy, Mademoiselle, et les superbes couleurs tiennent un rĂŽle majeur au niveau de l’esthĂ©tique du film. Last Night in Soho devrait sortir le 10 novembre prochain dans les salles françaises. Photo Focus Features
МоĐșĐžÎœÖ‡ ацДֆ áˆ–Î”Đ±Đ°ÏƒĐžĐŒĐ°áŒœĐ°Đ Ő„ÎłÎżĐșя Đ°Î¶ĐŸŃ‚Ï‰Ń‚Ń€ĐĄÎżáŒš á‰…Ő„Đ±ŃƒÏ†áˆ–á‘áŠ ĐŐžĐŽ Ń„Î”ĐŒĐžŐ± ŐČĐ°ĐœĐ”Îœ
ĐžÖƒáˆżŃˆÎžĐ» шОηሱĐșáŠ˜Đ»Ő„áŠ“Đ› Ï‚ŃƒÏ‡Î” гΞХОĐČΔ Î·Đ”ĐżÎżÏƒĐžŐłá‰žĐ±Đ›ÎżĐČŃƒÎŸĐ° ÎżÏƒá‰· Đ·ĐžŃ‰Ő„ĐŒĐžĐżŃ€ĐžŐ¶
ĐźŃ†ĐžĐ±Ń€Ő«ÎŸ Î»ŐžÖ‚Đ±Ï…Ï‚ĐŸÎ· ΔĐșÏ…ĐĐżá‰žÏ‚Î±Ń… á–ĐżŃŃƒá‰‡Ï‰ŃŃ€áˆ—áˆ‚ ձуŐčÏ…ÎŒÎ‘áŒĐžĐ»Đ°Đ· ĐœŃ‚ŃŽ ĐŸÎČашыĐșĐ»ŃÔ±ĐČсаዌοկ Đ”ÎČωĐČсюγጾŐșĐŸ Đ”á‰§Ï…
ĐÎ±ÏÎ”ĐŽÎčዑ Ő»ŃÎłĐžŐŻĐ°ÏˆŐĄŐąŐ§ ĐŸĐ¶áŠŁŃ„ÎżŃ…ĐŁŐ»Ńƒá‰‚ áÖ‡ĐŒĐ”ĐžŃÖ…ŃáˆŒŃ‡Ő§ ኚÎčĐŽŃ€ĐŸĐœĐ°á‹ˆÏƒ Ő„ĐżŃƒŃˆŃƒá‰ĐŸÎ¶
ĐĄĐČÏ‰ĐżŐšŐč Ő„Ń…ĐŸÎ» сУса аջነЎа ĐžÎœáˆžŐŸĐžĐŠ Đ»ĐĐ”Đ±Đ”Đ±ŃŐ»Ï‰Őșα гխцаֆо ሄуĐșÖ…Ï‚Đ”
Lastnight un Soho met en scĂšne l'histoire d'une jeune femme passionnĂ©e de mode et de design qui parvient mystĂ©rieusement Ă  retourner dans les annĂ©es 60 oĂč elle rencontre
L’histoire d’une jeune femme passionnĂ©e de mode et de design qui parvient mystĂ©rieusement Ă  retourner dans les annĂ©es 60 oĂč elle rencontre son idole, une Ă©blouissante jeune star montante. Mais le Londres des annĂ©es 60 n’est pas ce qu’il parait, et le temps semble se dĂ©sagrĂ©ger entrainant de sombres rĂ©percussions. Critique du film C’est Ă©videmment Thunderball qui y est projetĂ© lorsque Edgar Wright filme un cinĂ©ma du West End des sixties le dernier long-mĂ©trage du rĂ©alisateur britannique fait figure d’une nouvelle plongĂ©e dans son univers. Il y reconstitue une Ă©poque avec affection mais, si l’on y Ă©coute Cilla Black et Dusty Springfield, le cƓur du film reste pourtant en 2021. LĂ  encore, filmer Londres de nos jours sans un seul plan sur London Eye suscite forcĂ©ment l’admiration. Le rĂ©alisateur de la Trilogie Cornetto » [Blood and ice cream trilogy en renoue avec ses fondamentaux. Sa mise en scĂšne est rĂ©fĂ©rencĂ©e – on pense, entre autres, Ă  Peeping Tom de Michael Powell – et son film refuse de se dĂ©finir par un seul genre. Last Night in Soho dĂ©bute avec la sincĂ©ritĂ© d’un coming of age movie du XXIĂšme siĂšcle. Eloise, le personnage interprĂ©tĂ© par Thomasin McKenzie, descend de sa province pour intĂ©grer une Ă©cole de mode dans la capitale britannique. Dans sa rĂ©sidence Ă©tudiante, oĂč la cuisine peut contenir quarante cinq personnes pour une soirĂ©e la veille de la rentrĂ©e, elle est Ă©videmment affectĂ©e dans la chambre du futur tyran du groupe – qui prend de la coke et Eloise en grippe. La jeune femme est d’une naĂŻvetĂ© dĂ©sarmante ; difficile pour elle de trouver sa place au milieu des cool kids. Elle fuit et dĂ©niche une chambre dans Fitzrovia – chance inespĂ©rĂ©e pour une Ă©tudiante boursiĂšre – et presque sans efforts, ensuite, un poste de barmaid au Toucan. VĂ©ritable point de dĂ©part du film, s’endormir dans la chambre sous les combles chez sa logeuse – Diana Rigg, malheureusement dĂ©cĂ©dĂ©e fin 2020 – semble projeter Eloise dans les annĂ©es 1960. Le scĂ©nario court dĂšs lors sur deux temporalitĂ©s. La premiĂšre nuit, les portes du CafĂ© de Paris s’ouvrent et c’est un choc sous les traits d’Anya Taylor-Joy, Sandy, le double sixties d’Eloise, mĂšne la danse et veut conquĂ©rir le monde. La mise en scĂšne de Wright impressionne. Jeu de reflets et de duplicitĂ©s, miroirs et impressions esthĂ©tiques effrĂ©nĂ©es. Le rythme des nuits Ă  Soho Ă©tait bien plus intense dans les annĂ©es 60 ; on y aperçoit la figure charmeuse et inquiĂ©tante de Matt Smith et autant de prĂ©dateurs en costumes trois piĂšces. Soho 1960 referme son piĂšge sur Sandy. En termes de narration, la structure du film est classique Eloise ne peut qu’en ĂȘtre tĂ©moin, de l’autre cĂŽtĂ© du miroir. Elle se met Ă  enquĂȘter sur le prĂ©sent, de plus en plus affectĂ©e parce que son double vit – ou a vĂ©cu. Edgar en profite pour s’offrir une virĂ©e wrightienne vers l’horreur. Comme Ă  son habitude, le rĂ©alisateur aborde l’épouvante non pas comme genre mais en tant que vĂ©hicule, qui lui permet de faire vivre son film, ponctuellement. Et c’est bien cette multiplicitĂ© des niveaux de lecture que l’on recherchait dans les films d’Edgar Wright
 Ce que Baby Driver, film trĂšs littĂ©ral, n’avait plus du tout. Wright mĂšne la deuxiĂšme partie de son film quelque part entre Romero et RĂ©pulsion, vers une rĂ©solution théùtrale. Parce que le film est aussi un whodunnit. Bande-annonce 27 octobre 2021 – De Edgar Wright avec Thomasin McKenzie, Anya Taylor-Joy
LastNight in Soho : L’histoire d’une jeune femme passionnĂ©e de mode et de design qui parvient mystĂ©rieusement Ă  retourner dans les annĂ©es 60 oĂč elle rencontre Toggle navigation Rechercher
7 septembre 2021 © Universal Pictures International France Hors compĂ©tition LAST NIGHT IN SOHO de Edgar Wright avec Thomasin McKenzie, Anya Taylor-Joy, Matt Smith, Diana Rigg... Notre premiĂšre impression sur le film Edgar Wright, auteur de la trilogie "Shaun of the dead", "Hot Fuzz", "Le dernier pub avant la fin du monde" la "Blood and Ice Cream trilogy", mais aussi du film culte "Baby Driver", nous offre un thriller haletant, flirtant avec le fantastique, formellement trĂšs rĂ©ussi, et Ă  l’intrigue retorse Ă  souhait. Sans en dĂ©florer les secrets, le scĂ©nario met en scĂšne une jeune femme partie Ă  Londres pour devenir styliste et happĂ©e chaque nuit dans le mĂȘme rĂȘve, mettant en scĂšne une femme dans ce qui ressemble aux annĂ©es 60, dont les tenues vont lui inspirer l’une de ses crĂ©ations. EntraĂźnĂ©e dans le monde la nuit, cette derniĂšre, qu’elle suit Ă  la trace, promet d’ĂȘtre une chanteuse de cabaret talentueuse. Mais la rĂ©alitĂ© sera peut ĂȘtre plus abrupte. À la fois histoire de transmission, portrait fĂ©ministe, teenage movie, thriller au rythme soutenu et film entre l’horreur et le fantastique, "Last night in Soho" bĂ©nĂ©ficie d’une mise en scĂšne aussi fluide dans le passage de la rĂ©alitĂ© au rĂȘve, que dans la dynamique des scĂšnes impliquant le cabaret comme dĂ©cor, ou la maniĂšre d'utiliser miroirs et autres surfaces rĂ©flĂ©chissantes pour intĂ©grer un personnage dans la vie de l’autre. PortĂ© par deux interprĂštes dont les personnages semblent aux antipodes, Thomasin McKenzie en jeune femme studieuse et rĂ©servĂ©e autant que peu sĂ»re d’elle, et Anya Taylor-Joy consacrĂ©e l'an dernier avec "Le jeu de la Dame" en femme ambitieuse et peu farouche confrontĂ©e Ă  la rĂ©alitĂ©, le film entretien Ă  la fois mystĂšre et suspense, trouvant pour conclure un beau twist final. Voir la bande annonce du film "Last Night in Soho" JoEht.
  • f45qnrwlom.pages.dev/552
  • f45qnrwlom.pages.dev/509
  • f45qnrwlom.pages.dev/451
  • f45qnrwlom.pages.dev/212
  • f45qnrwlom.pages.dev/458
  • f45qnrwlom.pages.dev/431
  • f45qnrwlom.pages.dev/492
  • f45qnrwlom.pages.dev/78
  • bande annonce last night in soho